Alors, mes deux derniers, poèmes, un peu spéciaux, mais je les aime bien
A 18h je sortais
D'un lieu merveilleux
Tout simplement je rêvais
Etoiles pleins les yeux
Sur un banc je t'ai rencontré
Parlant de choses futiles
J'ai commence a t'admirer
Petite chose fragile
Hardiment tu m'as questionné
Pour engager la conversation
Mais j'appris quelques minutes après
Que tu n'étais pas douée pour la communication
Par petit bout,
J'ai découvert ta vie
Tu n'étais pas au bout
Juste perdue dans l'infinis
Ton langage, tes manières
Sans comptes tes problèmes
Tu pensais être la dernière
Ta force est plus grande que la mienne
Je ne sais de toi que ton prénom
Et pourtant tellement d'autres choses aussi
Tu es repartie vers ta maison
Et j'ai continué ma vie
Surement qu'on ne se reverra pas
Mais je garderais cette rencontre
Tout au fond de moi
Comme deux vies qui se montrent
Solene...
et le deuxième... je vous en voudrais pas si vous trouvez pas de quoi ça parle x')
Depuis longtemps vous êtes avec moi,
Quand je pleure, il est très utile de vous savoir là,
Partout ou je vais vous m'accompagnez,
Et quand vous n'êtes pas la je suis désespérée
Comment pourrais-je survivre en votre absence ?
En vous cherchant sans cesse pour évite les médisances,
Bien que me servir de vous sois aussi gênant,
C'est une obligation qui m'attriste souvent
Vous ne joignez pas l'utile a l'agréable,
Vous exercez votre fonction sans états d'âme
Néanmoins on s'attache néanmoins on s'habitue
Vous devenez indispensable, qui l'aurait crut
Lorsque vous me quitterez, car cela arrivera,
Je n'aurai aucune peine car je serai en état
Et les quelques survivants finiront au placards
Jusqu'au prochain malade qui demandera des mouchoirs