RÉSULTATS [Défi Écriture] N°10 : Ellana et/ou Jilano

Alors voilà les défis que j'ai reçu (j'en met un par post, pour une meilleure lisibilité).

Défi numéro 1 par Wenäria
C'est un poème que j'ai trouvé très joli.

Elle s'avance dans la nuit,
Aussi silencieuse qu'une souris,
Dans une danse infinie,
Sur le chemin de la vie.

Ellana est son Espoir,
Espoir qui grandit chaque soir,
Ellana ira très loin,
Et Jilano le sait très bien.

Sa grâce est inouïe,
Elle le démontre chaque nuit,
De l'ascention d'une tour en verre,
Jusqu'au bout de l'Univers.

Sa précédente élève, Wenäria,
N'avait atteint ce niveau là,
Qu'a la fin de trois années
De leçons bien expiquées.

Jilano, le grand marchombre,
Aussi silencieux qu'une ombre,
Est dépassé par son élève,
Cette légende, qu'il a fait naître.

Ellana est une jeune femme,
Il n'y a en elle aucune faille,
Personne ne lui arrive à la cheville,
Personne ne dépasse cette fille.

Défi numéro 2 par Akane et Iminielle
C'est un texte qui m'a fait mourir de rire.

Il arrivait fréquemment qu'un marchand requière les services d'un membre de la guilde des bas-fonds de rue afin de convoyer des cargaisons plus ou moins suspectes. Ce devait être le cas lorsque l'un de leur représentant ombrageux tout vêtu de cuir sombre entra dans la boutique d'un vendeur de caleçons. Il va sans dire que ces vêtements, d'une qualité douteuse, étaient importés de cet « autre monde » qui de part son économie flamboyante détruisait à petit feu celle de l'Empire.

Néanmoins, ces problèmes éthiques et économiques ne semblaient pas gêner leur convoyeur, puisqu'il avait accepté sans difficulté de les transporter, ce qui reflétait probablement son éthique proprement salasse.

Toutefois ne nous attardons point là-dessus, car déjà le missionnaire s’aperçoit de sa présence, et d’un commun accord de son bras gauche –put-il en être autrement-, lui fit signe de s’approcher, non sans au préalable avoir constaté qu’aucun œil hagard ne les regardait effectuer leur honteuse transaction. L'obscur transporteur écouta d'une oreille fort distraite ses dernières instructions, puis emporta sa précieuse cargaison et sorti de l'échoppe d'une démarche fluide et glissante, comme toute marchombre qui se respecte... Ou du moins, elle l'aurait fait si le paillasson n'avait pas été là.

Elle trébucha monumentalement, tenta de se rétablir en attrapant une enseigne, la manqua, se la prit entre les deux yeux et s’étala. Le tout en quelques secondes. Sa relève fut plus prompte, brûlante de honte. Ceci flottait encore dans son esprit, alors même que la missionnaire s’engageait sur une piste déjà loin, et dirigeait son attention vers sa destination, à savoir un vil, très vil, receleur de caleçons.

Elle longea quelque peu la piste, avant de se rendre compte que le bleu colossal situé entre ses deux yeux nuisait à la discrétion de sa mission, et décida donc de se diriger auprès d’un jeune acacia, en détacha une feuille, bava dessus et la colla sur son œdème. Brillante idée. Après tout, n’était-ce pas une technique de camouflage de l’autre monde connu par les érudits que de se coller des feuilles partout ? Ne manquait que la flaque de boue pour parfaire son déguisement. Quelque peu mécontente que le climat sec ne lui permette pas une dissimulation optimale, et surtout forte du fait que le ridicule ne tue pas, elle continua d'avancer à travers la forêt.

Sans s'arrêter sur les multiples racines sur lesquelles elle s'effondra, elle rencontra quelques menus tracas, notamment un écureuil et sa portée cherchant à enterrer leur réserve de vivres pour l’hiver dans sa chevelure… à croire qu’elle ressemblait à une motte de terre. Ouais bon un peu. C’est avec hargne qu’elle passa une main dans sa tignasse. Comme Laure et Hal, bien qu’en fait elle ignora d’où provenait cette expression. Mais c'était sûrement très sérieux.

Puis soudain, coincé entre le terrier du lapin et quelque chose qui ressemblait vaguement à une grosse patte de libellule, elle Le vit. Oui, elle le vit Lui, avec Ses grandes dents et Son regard globuleux. Sans oublier Ses orteils. Lui qui la fixait sournoisement, un rictus nauséabond déformant Sa sale petite tronche de rongeur. Elle venait de Le surprendre en plein crime, et savait qu’Il voudrait supprimer les témoins. D’ailleurs elle s’était plantée plein de monceaux d’échardes du cadavre de feu Junior Bouleau dans les bottes.

« Père Castor, raconte-nous u…

Dans un élan de naïveté peu à propos, c'est ce qu'elle s'apprêtait à entendre. Mais il va de soi qu'un castor, surtout le Grand Castor, ne s'abaisserait pas à prononcer des paroles aussi mièvres.

« Petite sous-rognure de charogne déshydratée », postillonna le rongeur, qui n'avait manifestement pas les idées très lumineuses. Encore un illuminé quoi. Hahaha... ehm. Ellana se força à redevenir sérieuse face à l’épique de sa situation.

« Maiiis-euh, je l’dirais à Jilano !
- Agile anneau ?
- Non, un grand maître marchombre.
- Oh, un péquenot qui joue du couteau quoi.
- J’ignore s’il l’était autrefois.

La conversation commençait à devenir complexe pour l’encéphale quelque peu réduit de la marchombre, si bien que le Castor se sentit obligé de se mettre à son niveau :

- Bon. Qu’est-ce que tu fais ici ?
- Euh…

C’est à ce moment là qu’elle décida de fuir ; laquelle fuite s’acheva brutalement lorsque le rongeur adopta dialecte plus adapté à ses connaissances, après tout n’était-elle pas qu’une gamine des rues ?

« Wesh twa, qu’stu fous ‘ci ?
- Oooh, fallait demander hein ! Je m’en vais porter à „Mhergrant“ ce petit pot de b... euh, ces Caleçons Panthères coloris Canari Panaché™.
- Ahha tu ignores donc que ladite Mhergrant a été avalée toute crue par un brave Castor avec de grandes dents, de grandes oreilles, et tout le baratin habituel ?
- Mytho’ !
- Oui. C'est vrai, maintenant que j'y pense, il n'avait pas de grandes oreilles. Seulement de grandes dents.
- Mais... mais qu'est ce que je… mais au fait, c’était pas un homme ?
- Sure ?
- Le marchant parlait de son "vieil ami".
- Et merde, je m’suis encore fait avoir…
- Vous !
- Eh oui, bon bah viens donner ton colis au trans’.

Le Castor ouvrit en grand la gueule, avec bienveillance, et innocence.

Comme à son habitude. Ellana attendait patiemment qu'il achève son bâillement, lorsque le charmant rongeur croassa :

« Qu'est ce que tu fais ? Tu me les donnes ces caleçons ou t'attends que j'avale un moucheron ?
- Euh… oui monsieur...

Et c'est ainsi que la missionnaire prouva son habilité au lancer de caleçons puisque le projectile, après heurt d’une branche basse, tomba droit dans le gosier dudit brave.

« Pas si vite, ne faut-il pas qu’il signe un reçu ?

Le Castor entrouvrit largement sa mâchoire tandis que la marchombre s’approchait. Mais le rongeur la stoppa d’une patte suspicieuse, subitement.

« Attend, t’es pas une fausse amie des Castors ? T'aimes pas le clafoutis au moins ? Je veux pas avoir d'ennui avec les extrémistes !
- Le clafoutis ? Mais c'est b... Hum. Après réflexion, je déteste ça. Les castors doivent être adulés par tout un chacun, c'est évident.

Le rongeur la regarda avec un air perplexe, allez savoir pourquoi.

« Et sinon, t’es réellement une femme ?
- Oui oui.
- Tant mieux, c’plus tendre. J’hésite désormais, tu me rappelles un jeunot qui nous adorait, mais il était un peu saoul, il a fini par faire péter le barrage. Damdam qu’il s’appelait… ou bien Danedane… dans ces eaux-là.

Ellana ne bougea pas d'un poil. On ne change pas une équipe qui gagne, parait-il. Le Castor lui, bougea. Il se trouve qu'un des caleçons emprisonnés dans son gosier décida de partir explorer sa gorge. Cela entraîna quelques « hum hum hum », rapidement suivis de « argh ».

Il y eu aussi des chuintements habituels aux voies quasiment bouchées, de ces crissements semblables à ceux qu’auraient pu faire une lame contre une paroi de verre. Si quelqu’un, du moins, se trouvait être assez stupide pour tenter. En bref, il agonisait.

La marchombre envisagea donc multiples possibles, mais restait l’ennui du « reçu ». Cela ne la gêna toutefois pas longtemps, car elle se décida bien vite à saisir la patte du castor, qui était censé représenter Mhergrant. Pour être tout à fait honnête, le formulaire ne fut pas d'une propreté exemplaire, car les tremblements compulsifs du castor nuisaient quelque peu à l'état général de ce qui est conventionnellement nommé « signature ».

Alors soudain, Ellana prit conscience de ce qu’elle était en train de faire : abuser d’un innocent castor en danger. Si indigne. Voilà pourquoi elle décida d’effacer toute preuve en le poussant ensuite dans le ravin en contrebas.

Puis elle rangea le précieux document si honteusement obtenu et prit ses jambes à son cou, ce qui signifie qu'elle couru cinq cents mètres avant de s'arrêter essoufflée. Suite à quoi elle s'efforça d'oublier ce peu glorieux épisode, sans grand succès puisque nous en parlons ici.

Morale de l'histoire : évitez de convoyer des caleçons, préférez la confiture !


N.B.: Elle ne fut jamais payé en raison d'un mauvais signataire. Mhergrant ≠ Castor.



Voilà, maintenant je vais mettre un sondage dans les résultats et ce sera à vous de voter.

A vous de voter.
Personnellement, j'ai voté pour celle d'Akane et Iminielle... mais le choix a été dur parce que j'ai aimé les trois.

Heyyyy! Ta oublié de poster mon défi!!! bouuuuuuuuuh Je pleure... de rire devant la fic d'Akane et Iminelle, mais pleure quand même!
Mer**... j'ai jamais vu plus clairement mon futur que dans cette fiction ^^ Sinon... il est plutot gentil envers les castors ce défi... l'on parle de leur intélligeance et leur kalité de langage supérieure à çelui du kommun des mortttels hummains.
Merci^^ Je vote pour vous^^ Dommage qu'il meurt à la fin...

Bpn zen fait c'est parce que le texte de Dunadan est trop long qu'il n'est pas passé...
Je vous le poste donc en deux fois.

Défi numéro 3 par Dunadan Aram
« CE SOIR, BORIS EST CHEZ LUI, IL ETEINT TOUTES LES LUMIERES, IL A SON PETIT PANTALON A PATTES DEF’… ROUGE, DES POMPES BLANCHES, CE SOIR, ATTENTION, BORIS DANCE! CE SOIR, CHEZ BORIS, EVENNEMENT, C’EST SOIREE DISCO!!! […] TOP DELIRE MEGA GROOVE! EEEEEVRIBODYYY! C’EST BEAU, C’EST CHAUD, C’EST DISCO! »
Un poste de radio ne mérite pas la lame d’un marchombre. Pourtant, ce dernier fut tranché en deux par celle de Jilano Alhuïn, fou de rage. Des étincelles jaillirent de sa pauvre victime et virent se perdre dans la neige qui l’entourait. Cette neige omniprésente en ce lieu… Qu’est-ce qui lui avait prit? Accepter cette mission stupide de la part de son ami d’enfance : Erald Sil’ Leffaut, qui la tenait de l’Empereur Sil’ Afian en personne! Récupérer une lame mythique Alavirienne, cachée dans l’Autre Monde par un dessinateur au nom, aujourd’hui oublié de tous…
Non seulement il avait accepté de l’escorter, mais aussi de participer aux frais de transport! Sil’ Leffaut n’ayant pu les transporter dans l’Autre Monde, compte tenu de son niveau trop faible de dessinateur. Il ne savait pas faire le Grand Pas! Ils avaient donc du acheter quatre Voyageuses - pour l’aller et le retour - à un prix exorbitant. Mais, par amitié, Jilano avait accepté et ensemble, ils effectuèrent le Grand Pas, grâce à ces objets ô combien précieux. Ils arrivèrent directement à leur lieu de destination : la ville de Tomsk, non loin du mont Oboloïskov ou se trouvait l’objet recherché et du fleuve Ob, en Sibérie. Ils allaient donc chercher dans cette célèbre ville - enfin, paraît-il - un homme qui pourrait les guider vers le mont Oboloïskov et leur traduire le russe. Ils avaient rendez-vous avec le « traducteur » dans un des rades miteux de la ville, l’Étoile Rouge. C’était un vieil homme étrange, d’origine Japonaise à en juger par ses yeux et le teint de sa peau. Sa famille était présente dans la région depuis trois générations, depuis la guerre russo-japonaise qui démarra le 9 février 1904 et s’acheva je-ne-sais-quand en 1905 après la victoire éclatante du Japon, sur une Russie Tsariste mal préparée à l’un des premiers conflits modernes de l’Histoire…
Mais, vous pensez bien, Jilano et Erald se moquaient pas mal des ragots pseudo historiques du vieux fou, maître d’arme, qui avait entreprit de leur raconté sa vie. Il s’agissait effectivement de l’un des derniers membres de l’organisation occulte des ninjas : le Senseï Queudeïjeudeumoï-Phourri. Les deux Alaviriens profitèrent d’une pose dans le monologue du Senseï, pour aller se commander à boire. Quelque chose de fort. Très fort. De la vodka artisanale. Pour supporter le froid et les ragots du vieux.
Ils retrouvèrent le vieux sage complètement ivre, à son dix-septième verre de vodka. Effectivement, qui peux dire d’où les vieux sages sortent leurs proverbes à la… Hem… je m’égare, et pas seulement de Lion… HEM! N’empêche qu’ils sont limite pire que les Chinois sur ce plan… Ha! Et voila c’est dit! Je hais les proverbes Japonais! Pâle copie des VRAIS proverbes Chinois! Je les hais! Presque autant que les racistes, les xénophobes et autres personnes intolérantes envers les peuples et cultures étrangères!
- D’accord avec ta théorie, je suis. Tel le canard, je me demande quel est le rapport avec le reste de la narration. Il semblerait que l’auteur, pour avoir tant haïs, soit trop resté, lors de sa courte vie, dans son coin. Coin. Mais le rapport? Quel est-il? Tel est laqué-stion! Effectivement : évitons de dire trop de choses que nous pourrions regretter. Comme l’a dit si justement l’Homme au Masque de Mort : « Si le paon ne criais pas, il ne se ferait pas avoir! »
Les deux Alaviriens, burent cul sec leurs premiers verre et allèrent en commander un second, à ce moment précis. D’ailleurs, ils ne comprirent pas un traître mot à ce que le vieux fou ivre racontait, le poing tendu vers le ciel, tel un orateur avisé… assoiffé… conversant avec une Divinité toute puissante, moi-même…

Note de la direction : Nous vous informons que pour crise de Pythagorisme aigue, le rédacteur précédent à été viré. Nous nous excusons pour le dérangement encouru, cher lecteur, et nous vous informons que la narration reprendra là ou elle aura été laissé. Merci de votre compréhension.

C’est alors qu’un jeune homme blond, un œil bandé par un pan de tissus blanc, vêtu d’une étrange - et très laide, au passage - armure blanche et bleu, représentant grossièrement un étrange oiseau, se leva de son tabouret et vint parler au vieux sage.
- Прощение... старый мудрец... что вы говорили? *
- Такой попугай, я говорю большое количество вещей! **
- Мы имеем пункт в общем , старика. Мы имеем все два из связей с Японией! ***
- Ничего общего! ****
- О !!! Но краткий, я имею вопрос, чтобы помещать вас. Когда вы были рождены? *****
- 3 июля, 1947! Но какой, лебедь merde, танцуют меня балет, и я буду давать вам морковь! ******
- О ! Athena! Это - хорошо того, что я боялся... *******
- Идите туда, имейте вашу мать! Делайте дерьмо не! Ломайте вас! ********
- AURORA EXECUTION!
Le jeune blond tendit ses deux mains vers le pauvre vieil homme qui fut propulsé à l’autre bout du bar par une vague du froid qui l’entoura en un macabre cercueil de glace, mort. Les conversations ne s’interrompirent que l’espace de dix secondes. Les rixes étaient monnaie courante dans ce bar… et surtout, on ne contredit jamais le Cygne…
- Merde! Le vieux est mort! Comment on va faire? Se lamenta Sil’ Leffaut.
- Vous… parlez… français? Demanda l’assassin, hésitant.
- Oui… enfin… on ne parle qu’une langue se rapprochant du français… et donc on est allé chercher le type que tu viens de tuer. Il devait nous conduire au mont Oboloïskov! Lança le marchombre, se demandant pour la première foi - première d’une longue série - ce qu’il foutait là, entendant à la radio du bar passer Moskau de Dschinghis Khan…
- Mais… je connais… je me ferais un plaisir de vous-y conduire!
Et c’est ainsi que lui, Jilano Alhuïn se retrouva seul, au pied de cet immense glacier que l’on osait appeler montagne, à attendre que le jeune fou à l’étrange nom de « Hyoga » et Erald ne redescendent avec l’épée de Til’ Erostan en personne…
Le maître marchombre jeta un regard dédaigneux sur le poste de radio fendu en deux. Décidément, si la technologie servait à cela, si ce monde disparaissais, il n’en serais pas mécontent…
Mais soudain…

Et oui, cher lecteur! Quel suspense insoutenable! Qu’est-ce qui va arriver à ce pauvre dessinateur, au noble chevalier l’accompagnant et au légendaire marchombre? Et bien, vous le saurez après cette petite page de publicité.

« Salut, c’est Riburn Alquin qui vous parle. Avant, je ne me brossais pas les dents. Et puis, je me suis rendu compte que mon hygiène dentaire était au plus bas et que, sincèrement, mon haleine n’était pas des plus agréable. Puis j’ai découvert Tleilagencyl. Un dentifrice moyenâgeux pour marchombre. Tleilagencyl, pour des dents plus blanches! »
A base de dérivé d’épice, de Brûleur de Pierre, de liquide axlolt et cheveux de Scytale.

(suite)
Me revoici! Bon, la pub n’a pas durée une page entière mais bref… c’était une figure de style! Toi, ô lecteur indésirable, tu ne va pas commencer à contester tout ce que je dit. Sinon, ça va très mal finir. D’abord, tu n’as que ça à faire de lire ce ramassis de conneries qu’est ce défi, planté devant ton ordinateur avec ton air d’amorphe? No-life va! Quoi? Viré moi aussi? Ça se vois tant que ça que je meuble pour ménager l’effet de surprise tel l’écrivain avisé que je suis? Aaaah, je préfère ça, vous me gardez maintenant! Faux cul de la direction, va! Damned! Mais j’y penses! Voila que je vous dévoile les plans les plus sombres de mes stratégie littéraires! Bien vu, cher lecteur… tu ne m’y reprendras plus… De toute manière, l’autre avait raison… les lecteurs, c’est comme les proverbes japonais je…
Ahem…

Mais soudain…

Le premier abrutis de lecteur qui trouvera la moindre trace de soudaineté dans l’ « action » à venir me fera signe…

Mais soudain… Jilano prit conscience de l’existence d’une petite maison russe du style architectural soviétique, bien différent des isbas traditionnelles russes. En gros, il s’agit d’un cube de béton armé…
De cette « maison » sortit un homme étrange de très petite taille et d’une laideur à l’inversement proportionnel de sa hauteur.
- Holà manant! Qui es-tu? Demanda Jilano, surpris par l’arrivée du nain.
- Je suis Bijaz… j’aurais préféré m’appeler Bijoux. Un bijoux est plus beau et a de la classe…
- Et merde, encore un timbré… Marmonna le marchombre.
- Qu’est-ce que ceci? Demanda le nain en regardant le vent soufflet depuis le glacier.
- Je l’ignore… Répondit Jilano.
- Le vent apporte les démons…
- C’est sûr… Répondit Alhuïn.
Le nain toussota et fit un geste du menton qui aurait dû inciter l’Alavirien à poursuivre.
- Quoi?
- Ton teeeexte!
- Ah oui…
Jilano Alhuïn prit une pose aventureuse et, les poings sur les hanches, il regardant l’horizon d’un regard chargé de défi. A la façon Chuck Norris.
- Ce n’est pas le vent…
- C’est le Brûleur de Pierre…


AU MEME MOMENT

Et oui, cher lecteur! Par une nouvelle pirouette narrative, je vous ai coupé la véritable action de ce défi pour vous reparler de Sil’ Leffaut et de Hyoga. Les deux hommes bavardaient gentiment au sommet de la « montagne », cherchant l’épée mythique.
- Comment se fait-il qu’un jeune homme comme vous maîtrise aussi bien le français?
- Je parle couramment des dizaines de langues… Bah oui, pour la promotion de ma série à la con, il faut bien que j’apprenne à parler les langues des pays ou il existe des pigeons pour acheter nos DVD pourris… C’est clair, c’est mieux que ce soit moi qui m’y colle que l’autre tarlooze qui chiale tout le temps, avec ses cheveux vert moches et son armure rose de travelo!
- C’est sur… Mais… qu’est-ce que c’est? Demanda Erald, trouvant un étrange ovale métallique sur lequel figuraient une tête de castor, une indication en lettres noires et un panneau « ATTENTION »
Hyoga lut l’indication à voix haute, la traduisant du russe pour Erald.
- Je ne comprends pas bien… c’est écrit en un russe étrange… littéralement ça donnerais « Bombiiiiiik atomiiiiiiiik! Si vous lisez-iik ceciiiiiiik, c’est que vous-iiiiiik allez iiiiiiiik passer, abrutiiiiik! » Je ne comprends vraiment pas ce que cela veux dire…


Cent kilomètres plus à l’est, se trouvait une étrange créature. Un castor génétiquement modifié par les essais nucléaires de l’URSS. Un castor à qui avait été donné l’intelligence d’un homme. Associé à la sienne déjà hors du commun. Lui et ses frères étaient presque prêt à venger enfin tous leurs frères morts par le réchauffements climatiques et autres atrocités de l’humanité. Avant, il fallait tester l’armement. Le castor hésita à appuyer sur le petit bouton rouge, juste devant lui, pure merveille de la technologie fraîchement importée de Tleilax par le Super Croiseur Castorien, au générateur Holtzman Spatio-temporelle. Il savait que des hommes se situaient sur le site de test… Il hésitait…
C’est alors que, venant d’un arbre d’une laideur sans pareil, au dessus de sa tête… Quoi? Un cerisier en Sibérie? On viens pas de vous dire qu’il y avait eu des essais nucléaires dans le coin? Bref, apparut une immense cerise d’une beauté absolu. Parfaitement ronde. Si Rouge. Si Juteuse. Le symbole de la tentation : la Cerise Suprême : la Cherry.
- Appuis sur le bouton. Fit-elle de sa voix la plus lubrique.
- Iiiiik! J’iiiiiik comptais bien, mais il iiiiiiik a des gens sur le glaciiiiiiier! Répondit Bodaze, le général en chef des armée Castoriennes et général de la Légion Schnaps.
- Fais-le… vas-y… Regarde-moi… Je suis la Cerise Suprême? Te mentirais-je? Sans moi, tu n’aurais plus de clafoutis…
- Mais…. Et l’abriiiiiicot?
- Ta gueule…
- D’accord…
- Mais fait donc ce que je te dit crétin de castor! On ne contredit pas une divinité aussi puissante que moi! Sais-tu combien j’ai d’adeptes à mon culte?
- Hmmm…
- Et si je te dit qu’il y a Shun, Verka et Boris sur le glacier?
- IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIK!
Le castor appuya de sa petite patte si meuuugnone sur le petit bouton rouge, tenté par cette cerise à la beauté factice, reine de la perversité. Par contre, malgré cet acte atroce, il y avait une excellente nouvelle… Le matériel marchait!



- C’est le Brûleur de Pierre! Lança Bijaz.
Une colonne de flammes s’éleva dans les airs depuis le glacier qui fut désintégré et atteignant un sommet à plusieurs kilomètres d’altitude, commençait à redescendre en une vague circulaire de mort flamboyante.
- NE LE REGARDEZ PAS, MON SEIGNEUR! Hurla le nain, pour couvrir le son de l’explosion.
- MAIS TA GUEULE!
Jilano donna un grand coup de pied dans l’arrière train du petit homme qui vola au loin, vers l’explosion atomique, alors que le marchombre rentra dans sa maison, à l’abris. Il referma la lourde porte de métal derrière lui. Vite. Il fallait réfléchir vite. La maison ne tiendrais pas sous le choc… Deux choix s’offrir à lui, alors qu’une tache noir commençait à apparaître au centre de son champ de vision. La boite blanche appelée « frigidaire » ou la porte en acier derrière laquelle se trouvait un « abris anti-atomique »… Il alla ouvrir le frigo, tenta d’y rentrer… et s’en fit éjecter par un étrange vieillard en tenue d’aventurier avec un beau chapeau et un fouet, à grand coup de pied dans le… l’arrière train. Alors le maître marchombre alla se réfugier dans l’abris au nom étrange et referma le sas derrière lui, la tache noir grandissant rapidement, lui masquant presque totalement la vue. Au bout de moins d’une minute, la tempête était déjà passé. Jilano sortit et constata les dégâts qu’avaient causé l’ouragan de flammes. Seul restait l’abris. Plus de maison, de frigo… rien… Tout autour de lui, il n’y avait que de la terre calcinée. Plus une trace de neige… Qu’est-ce qui avait été capable d’une telle puissance? Puis. Soudain. Il ne vit plus rien. Rien du tout. A tâtons, il chercha la Voyageuse dans sa poche et effectua le Grand Pas, pour rentrer chez lui. En Gwendalavir, loin de ce monde de dépravation.
On raconte que malgré sa nouvelle cécité, il parvint, grâce à ses dons de marchombres, à compenser sa vue manquante par son superbe odorat et son ouïe hors du commun. Mais c’est sa vue défaillante qui le trahis, le jours de sa mort, confondant une pauvre cruche servant d’appât avec son apprentie, Ellana, l’amenant dans un traquenard si bien orchestré par Jorune, l’Apôtre Alavirienne de la Cerise Suprême…


La conclusion de ce défi est bien claire… Mais je vous laisserais la formuler, sinon, l’on me taxerais de propagandiste. Vous autres, adorateurs de Jilano, pensez-y à deux fois lorsque l’on vous proposera de rejoindre les rangs des Cherrys. Vous avez le choix. Le diable ou une autre théologie. Comme par exemple celle des Castors Alcooliques qui, comme tout le monde, font des erreurs, mais eux, le reconnaissent. D’ailleurs, elles sont presque toujours dues aux cerises et aux ornithorynques, les salops!

Et oui, chers lecteurs! Voyez ma prescience quasi divine! Je sais, écrivant ce défi, que les Cherrys montent un coup monté contre les Castors Alcooliques, par un autre défi diffamatoire écrit par l’Admin Despotique Akane!
Ceci était seulement une réponse à cet agression futur.
Lecteurs adorés, face aux mensonges, ceci étaient les faits… hem… sauf bien sur lorsque je vous ai insulté… oui oui… petit égard psychologique pardonnable, non?
Bon, quoi qu’il en soit, voici un petit conseil

LES CERISES AUX BUCHERS DE LA GRANDE DISTTILLEUSE! VIVE LE KIRSH! A BAS LES ASSASSINS!


Lexique :

* = ( en un russe très pourri) Pardon… vieux sage… qu’avez-vous dit?
** = Tel le perroquet je dit beaucoup de choses!
*** = Nous avons un point en commun, vieil homme. Nous avons tous deux des liens fort avec le Japon
**** = Rien à foutre.
***** = Ho! Mais bref, j’ai une question. Quand êtes-vous né?
****** = Le 3 Juillet 1947! Mais quoi, cygne de merde, danse moi un ballet, et je te donnerais une carotte!
******* = Oh! Par Athéna! C'est bien ce que je craignais...
******** = Vas-y, nique ta mère! Fait pas chier! Casse-toi

Et comme il y a eu des arrivées tardives (suivez mon regard), voilà celle d'Erwana.

Titre: Arrête ta comédie !
Auteur: Erwana
Personnage: Ellana et Jilano
Période: Inoguration des "Dix Tournois"
Diclamer: Rien n'est à moi, mais à Pierre Bottero, naturellement.


Note: Au début, j'étais partis sur un projet phylosophique audacieux. Le temps a joué contre moi, pas mal de choses me sont tombées sur la tête en même temps (mais je ne suis pas là pour vous raconter ma vie), et j'ai perdu mes idées en cours de route. Toujours est-il que le projet m'est vite aparut prétentieux. Ci-dessous un texte qui n'a pas la profondeur dont j'aurais rêvé, mais qui je l'espère, vous divertira l'espace d'un instant.

La nuit était tombée depuis bien longtemps sur la capitale. Pourtant, Al-Jeit était loin d'être endormit. Les lumières de la ville scintillaient joliment sous les étoiles, et le peule alavirien s'agitait joyeusement. C'était l'été. La journée avait été caniculaire, et les habitants n'avaient pas quittés le refuge de fraicheur que leur offrait quatres murs et un toit. A présent, chaque place vibrait d'une animation particulièrement festive. Profitant de la tiédeur du soir, une foule noctambule s'était aventurée dans le dédale des rues. Certains se contentaient d'arpenter les environs sans but précis, de profiter simplement de ces instants passibles. Ils évitaient bien-entendu les coupes-gorges, où les attendaient de potenciels brigants, la prudence étant toujours de mise. D'autres se précipitaient sur les places publiques; buvant un verre à la terrase d'une taverne en compagnie d'une belle blonde ou d'un beau brun (c'est selon); ou allant à la recontre des nombreux artistes se donnant en spectacle; recherchant simplement un peu de divertisement.

Aux environs de la porte de Saphir, des spectateurs aplaudissaient à tout rompre deux jeunes gens aux mines réjouits. Un jeune homme qui essuyait des larmes, qui, un instant plus tôt se voulaient dû à un chagrin des plus atroces, mais qui à présent correspondaient plutôt à une joie intense; et sa toute aussi jeune partenaire dont il tenait la main. Leurs camarades les réjoignaient uns à uns, arborant un sourire égale. Se plaçant en ligne, ils saluèrent plusieures fois, avant de se retirer tous en même temps.

-Qu'en as-tu pensé ?
Le public se dispersait lentement, chacun y allant de son avis sur ce qui venait de leur être présenté.
Le ton général était léger, pourtant celui de la jeune femme interrogée se fit plus grâve, plus songeur.
-Je n'avais jamais rien vu de semblable, lâcha-t-elle d'emblé.
-Tu auras donc découvert quelque chose de nouveau. Il faut être curieux du monde, sais-tu ?
La question n'en était pas vraiment une, et il s'adressait à elle comme à une enfant de cinq ans, à qui on explique pourquoi les nuages avancent dans un sens contraire à celui des hommes.
-Quel est-en le titre, déjà ? biaisa-t-elle, réorientant la conversation.
-"Roméo et Juliette", répondit-il du tac au tac.
-Drôle de nom, ce sont des prénoms, non ?
L'homme laissa échapper un rire face à l'étrange répétition.
-Pour les gens de notre monde, oui; mais celui qui les a nommé ansi ne compte pas parmis nous.
Cette pièce est originaire de l'autre monde, tout comme son auteur, compléta-t-il devans son air d'incompréhension.
-De "l'autre monde" ?
-Oui, ce monde dont on parle dans les hautes sphéres.
Elle hocha la tête, en ayant déjà entendu parler, puis formula l'interrogation que ses dernières phrases avaient éveillé en elle.
-Comment ce fait-il qu'une oeuvre apartenant au départ à l'autre monde, soit jouée ici ? Ce sont des explorateurs qui l'ont ramené ?
-C'est exactement ça. L'empire à l'habitude d'envoyer des Sentinelles capables de faire le pas-sur-le-côté en éclaireuses là-bas. Leur mission consiste à étudier l'autre monde, à récolter le maximun d'informations sur lui. De l'avis de la plupart d'entres elles, c'est un travail plutôt plaisant, une expédition touristique, comme des vacances dans un pays étranger. La tâche a été confiée à Altan et Elicia Gil' Sayan, mais avec la situation de l'Empire qui se déteriore, je doute qu'ils aient beaucoup de temps à lui consacrer en ce momment.
-J'aimerais bien aller là-bas, un jour. Cela pourrait être interessant, jugea-t-elle.
-Sans doute; mais tu n'as toujours pas répondus à ma question initiale, l'accusa-t-il doucement.
-L'écrit dont elle est tirée est récent ?
-Il y a déjà eut une adaptation, il y a fort longtemps. Considérée comme dépassée et poussièreuse, et les acteurs de l'époque étant mort depuis des lustres, on tentant une nouvelle adaptation, il y a quelques années de cela. Maître Elis, professeur à l'Académie, a soutenu que le projet ne trouverait pas de meilleurs mains que celles de ces chers aprentis Sentinelles. Elles fûrent auditionnées, sans suite.
Un ricanement interrompit ses propos, mais il l'ignora et continua tranquillement son récit.
-L'an dernier, un groupe d'adolescent a reprit le flambeau, nous venons de voir le fruit de leur collaboration.
De l'avis général -je n'inclus pas le tiens, puique tu n'as toujours pas consentis à me le donner- c'est une réussite. Pour preuve, ils ont obtenut une place dans la fête d'ouverture des dix tournois. Demain, ils partiront pour Al-Chen, et ils risquent de faire une tourné dans tout Gwendalavir.
Face au hochement de tête apréciateur de son auditrice, il revient à la charge.
-Alors, cette réponse ?

Des notes critallines s'accordaient au clapotis d'une fontaine proche, et la lune brillait haut dans le ciel.
Vêtu d'une longue robe vert émeraude en aliage parfait avec le roux de ses cheveux, une harpiste faisait danser ses doigts sur les cordes de son instrument, pour l'unique plaisir de quelques insomniaques. Un homme était adossé contre un mur, portant un oeil distrait sur un couple d'amoureux qui se bécotait un peu plus loin; à ses côtés se tenait une adolescente, 17 ans ? peut être plus.
-En quoi le faite de jouer la comédie te dérange ? J'avoue ne pas te comprendre.
-C'est dur à definir, peut être justement le faite que ce soit de la comédie. Il n'y a rien de vrais là-dedans.
-Cela dépent. Tu ne dirais pas la même chose d'une oeuvre satyrique par exemple.
-Possible, mais "Roméo et Juliette" cracha-t-elle avec un mépris évident, une histoire d'amour à l'eau de rose couronnée d'une fin tragique, avec un écoeurant cliché qui se balançe sur la trame "tout les séparent, mais leur amour est plus fort que tout, il triomphe même dans la mort", ironisa-t-elle.
-Laissons de côté le récit; d'un point de vue uniquement artistique, c'était remarquablement traîté, plein de charme, de poésie, et les deux acteurs étaient boulerversants.
-Oui, on y aurait presque crt, repartit-elle, souriant enfin.
-Jouer la comédie est loin d'être facile, sais-tu.
-Ne le faisons-nous pas tout les jours ?
-Approfondis je te prie, ça m'interesse.
-Nous sommes tous des comédiens, à notre manière, nous jouons chacun dans un rôle plus ou moins proche de ce que nous sommes vraiment.
Elle tourna la tête vers lui, guettant un quelconque signe d'approbation. Devans son absence de réaction, elle poursuivit.
-Je crois que les momments où nous sommes entièrement nous même, sans aucun rajout, aucune dérivative, aucun suplément sont extrêment rares, et donc précieux.
-En ce qui te concerne, qu'en pense-tu ?
-Comme tout le monde, je crois que je cherche à savoir qui je suis vraiment, alors je teste plusieures personnages, histoire de voir lequel me collera le mieux, tout en sâchant qu'il y aura toujours un décalage, aussi léger soit-il, avec ce que je suis vraiment.
-Et le théâtre dans tout ça ?
-Il doit être une aide dans cette quête d'identité.
-Mais n'y a-t-il pas un risque qu'il y ait un effet contraire ?
-Qu'à force de vêtir de trop nombreux costumes différents ont finisse par ne plus être qu'un seule entité, que cela dérive en des dédoublements de personnalité ? On doit parfois avoir du mal à sortir du personnage, j'imagine, surtout quant on y séjourne depuis trop longtemps, mais je pense qu'on finit toujours par redevenir soit même.
-Tu aimerais t'essayer à cette discipline ?
-Pourquoi pas, cela ne peut être qu'enrichisant, et l'idée de maîtriser une grande palette de nuances dans ma vie de tout les jours me plaît.

Jilano sourit. Ellana avait encore beaucoup à apprendre.
Plus loin, la harpiste jouait toujours sa mélodie envoûtante.

...A tout ceux qui ont prit la peine de me lire......


(si un modo pouvait éditer le sondage avec le texte d'erwana, parce que moi je ne peux pas)

C'est fait!

J'ai voté pour Erwana. Les autres m'ont bien plus aussi! Bravo^^

Ho, Duna et moi, on n'a aucune chanc, aparament...

Tans pis! ^^

Bravo à tous!

J'ai beaucoup hésité (c'est à dire que je suis restée 10 minutes devant mon ordi à me ronger les ongles ^^), mais finalement, je vais voter Duna =)

J'esplique, parce que sinon je vais me faire lapider ^^ :

Wenäria : Ne le prend surtout pas mal, mais je trouve ton poème trop mignon Par contre, j'aime pas trop le fait que tu cases ton pseudon dans l'histoire. Au passage, la puriste que je suis te signale qu'il y a certains vers qui ne rimment pas... mais ça arrive aussi dans la poésie rimbaldienne (raaaah j'aime ce mot xD) donc, t'es pardonnée ^^
Mais je maintiens, c'est troop chou =)

Akane et Imminielle : Boudu.. quand je le relis je me dis que c'est vraiment du graaaand n'importe quoi ^^ M'enfin, c'était bien marrant

Dunadan Aram : Mouahahaha.. *se bidonne devant son écran* Eh bien tu m'as fait bien rire. J'ai particulièrement aimé le "Tleilagencyl", et la Cherry, et ta maîtrise indéniable du russe, et .. tout en fait
Donc voilà, j'ai voté pour ton texte

Erwana : J'aime beaucoup ce que tu as écrit. Comme d'hab', c'est évident que tu fais du théatre.
Bah.. c'est dûr d'expliquer pourquoi j'aime bien ton texte.. La partie où tu parles du théatre, de ce que ça représente et cie est géniale ! Un peu plus long n'aurait pas été de refus, mais apparement, t'as pas eu le temps =) Pis t'écris "bien" voilà tout ..

Rolala ce fut un long post, je m'en vais me reopser les doigts =)

Bisous tout le monde

Erwana : Hmm j'ignore si c'est parce que je suis épuisée, mais il me semble que tu t'es améliorée depuis ton précédant défi. Style plus fluide, tournures plus plaisantes. Malgré quelques mauvaises langues (non non je ne viiiise personne, du tout ) ayant critiqué le fait que tu approches encore le monde du théâtre, moi ça m'est bien égal. Le plus important c'est de passer un moment agréable, toi en l'ayant écrit, et nous en le découvrant. Et ça, ce fut réussi. Le seul gros bémol, c'est qu'au stade où tu en es, les fautes trop présentes dans presque chacune de tes phrases y font perdre beaucoup. Sur quelque chose de bas niveau, ça passe, mais quand on est plus haut, c'en devient gênant. De plus, on a une sensation de manque lors de tes dialogues. C'est comme s'il y avait des "blancs", un peu d'approfondissement n'aurait pas été de trop.

Dunadan : Ton texte m'a énormément plu, le seul truc dommage, c'est qu'il y a des tas de références que tout le monde ne connait pas. Du style le cygne, Shun, Bijax, Boris, les Tleilaxus. Du coup ceux qui ne savent pas qui sont ces supeeerbes personnages doivent moins ressentir d'amusement à leur présence. Plus pas mal de fautes aussi et un texte un peu "bloc". M'enfin j'ai tout de même adoré le passage concernant "l’autre tarlooze qui chiale tout le temps, avec ses cheveux vert moches et son armure rose de travelo!". Ppf tu savais que tu arriverais à me prendre par les sentiments en évoquant Shun heiiin ? Fourbe va.
Ah, puis la Cerise Suprême, elle claque. x)

Wenäria : Hey toi aussi t'as progressé depuis ta dernière participation que j'ai pu lire (ou bien c'est moi qui régresse =/). J'aime bien les trois premières strophes, mais ensuite j'sais pas, ça me bloque. Peut-être le fait que "tu" te sois évoquée, ou alors le fait qu'Ellana se trouve presque dans une apothéose.

Nous : Héhé merci Imminielle d'avoir participé avec moi, ce fut vraiment amusant, même si tu as passé ton temps à tenter de te trouver des excuses et le mien à te faire la chasse. Ça a donné du piquant à notre collaboration. ^^

Au final, je crois que je vais attendre demain pour voter. J'suis trop crevée pour faire un choix sensé ce soir, en tout cas ça se joue entre Dunadan (Shuuuun <3) et Erwana.


[Edit] Fichtre, j'ai mis tellement de temps à écrire ça qu'Immi' m'a devancé.
Effectivement, j'ai eu la même impression en nous relisant.
Mais n'était-ce pas prévu dès le départ avec ce mode de fonctionnement qui fut le notre ? ^^

[Edit 2] Ah au fait Duna, je vois que tu as repéré la petite référence à ton avenir. =D

^^ Ah.. je vois que personne n'a relevée la fin tragique d'un personnage de film bien masque ( tu parles^^) dans ma fic... relisez-la et peut-être la trouverez-vous^^
Ooooh qui connait pas le messi de Dune et les Chevaliers du Zodiaques? Rôôôôôh! Incultes!
( oui bon désolé pour les fautes... je l'ai un peu tapé à l'arrache... et de toutes manières, des fautes, j'en fait tous le temps^^)

Hmm tu parles de l'"étrange vieillard en tenue d’aventurier avec un beau chapeau et un fouet" je suppose... mais vu mes connaissances en film je vois pas du tout, euuuuh Gandalf ? xD
(au hasard... le seul perso vieux et aventurier que je connaisse, mais il n'a pas de fouet). Ou alors Indiana Jones... mais que ferait-il dans un frigo ?
Pardon d'être inculte.
[Edit] Bon bah après explication d'Arwena, merci d'ailleurs d'éclairer mon sombre débarras cinématographique "contemporain", c'est bien Indiana Jones. ^^

Citation :

[...]il est plutot gentil envers les castors ce
défi... l'on parle de leur intélligeance et leur kalité de langage
supérieure à çelui du kommun des mortttels hummains.[...]

Pas du commun des mortels, d'Ellana, nuaaance.

Bon, après m'être bien tâtée sur l'endroit où irait mon choix final, j'annonce que ce sera Dunadan. Pas le choix, il a su allier Shun et la Cerise Suprême (puis Bijaz)... il m'a pris par les sentiments là. Joli les jeux de mots foireux aussi (avec le canaaard ^^).

J'ai énormément hésité (c'est à dire un peu plus de 3 minutes) entre le texte de Duna, et celui d'Akane et Imminielle. Finalement, j'ai voté Duna.

Wenaria: Tout comme Imminielle, je dirais que c'est mignon, et encore une fois tout comme elle, je dirais que je n'aprécie que moyennement la présence de ton speudo dans l'histoire. Une jolie éloge d'Ellana, donc.
Continus ansi, tu t'améliore.

Akane Imminielle: Muhahaha, n'importe quoi ! Mention spéciale pour le Castor, la référence au "Petit Chaperont Rouge", la question du castor sur le clafoutis, et le délire avec les caleçons. Seul bémol pour moi, je trouve la fin un peu trop tirée par les cheveux. (le castor qui s'étouffe avec un sous-vêtement)

Duna: J'aime surtout pour les références qui rendent la lecture des plus amusantes. Je n'épiloguerais pas ici, sinon ça va gâcher le plaisir de ceux qui n'ont pas encore saissit tout les clins d'oeil. Juste un dernier mot: Shuuuuuuuuuun !!!!

Merci pour le vote Ellana, mais si tu pouvais m'expliquer un peu pourquoi tu as fais ce choix, je crois que ça pourrais m'aider. Merci d'avance.


[Edit Aka] Erwana, mets des sous-vêtements dans ta bouche voir si tu survis...

[Edit Erwana] Oh, je ne tenterais l'expérience que s'il me prend un jour l'envie de me suicider. Je me suis mal exprimé; ma question était plutôt; le castor n'avait donc aucun autre endroit pour stocker la marchandise ? Avoue que la mettre dans son gossier (quant on n'est pas un pélican) c'est franchement tordu.

[Edit Aka] Toi t'as pas tout compris... sachant que Mhergrant, destinataire, transsexuel au passage, s'est fait avaler par le "brave castor", il est normal que la marchandise aille là où il est.

Aaaaah lala.. les deux défis les plus débiles au coude à coude^^ j'en suis fier^^

Wenaria, j'aime bine ce que tu as fait...mais, il y a un mais...je crois que...comment dire...pour les rimes, elles sonnent trop, facile...il faudrait plus de poesie...je ne sais pas comment te l'expliquer...mais j'ai beaucoup aime...

Akane et Imminiel...desole, mais la parodie est un peu exagere a mon gout, tres humoristique, mais je me suis attache a la poesie des livres de Pierre Bottero..et n'aime pas trop..comment dire. Je trouve sa un peu exagere et loufoque mais trop...c'est trop, dement. Il aurait fallu se retenir un peu..Toutefois bien ecrit, il y a du talent.

Dunadan, meme si je prefere ta fic' a celle d'Akane et Imminiel, desole, la parodie, sa ne passe pas, j'avoue que c'est marrant, bien ecrit il y a du style et du talent. Le comique avec les pubs et l'intervention de l'auteur est une bonne idee, j'ai beaucoup aime, mais...la parodie ne passe pas, desole....