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 Ma vision de la guerre du futur.

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2 participants
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Nox
Ptit clafoutis
Nox


Masculin Nombre de messages : 153
Age : 32
Date d'inscription : 01/12/2008

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MessageSujet: Ma vision de la guerre du futur.   Ma vision de la guerre du futur. EmptyMer 17 Déc - 20:42

Hey, Bien le bonjour, Salutations.

Je vous présente ici un extrait d'un roman que j'écris et qui s'appelle "La lumière noire" et qui est le tome deux de ma trilogie "Les enfants de Kaos" (le tome 1 étant bien évidement "L'expérience de la cruauté"). Il n'est pas neccesaire de lire quoi que ce soit pour comprendre ce qui se passe, les personnages présent y sont nouveau et n'apparaisse pas dans les chapitre précédents donc vous avez toutes les clef de comprehension ou presque. Lisez le prologue de l'experience de la cruauté et là vous les aurez vraiment toutes. Je poste ce passage parce qu'il exprime ma vision de la guerre du futur et de l'horreur de ce qu'elle peut être.







Chapitre 19


<< Je n'ai pas encore trouvé la citation ^_^' >>


Le sergent Colnov jeta un regard inquiet à Irwadtir, sa garde du corps. L’olloyove grimaça mais garda le silence.
Eva Colnov revint à son observation méthodique, réajusta ses jumelles sur ses grands yeux couleur ambre. Les kepsis avaient déposés leurs troupes sur la zone d’activité anormale bien avant que le gouvernement européen ne se rende compte des manigances qu’y menait Evenpast et leur camp fortifié était bien organisé. Des sphères volantes parcouraient un périmètre précis et faisaient office de sentinelles, des gardes surveillaient un puit de forage munis d’un ascenseur, des soldats montaient des tentes. D’autres, placés en hauteur, se tenaient près à agir au moindre signal. Tous était munis de système protégeant leur fine carapace et leurs poumons des armes chimiques. Une organisation simple et efficace, souple et adaptée à la situation. Les engins spatiaux en orbite restaient indétectables mais une grosse boule de métal lévitait au dessus du puit, présentant un diamètre d’environ vingt mètres, d’un gris brillant.
Le seul danger venait de là, de cette étrange chose flottante. Eva savait que ses troupes d’élite ne feraient qu’une bouchée des kepsis, surtout à trois cent contre cent cinquante, mais cet orbe gris l’inquiétait.
- Tenez vous près, ordonna-t-elle d’une voix autoritaire.
Quelques secondes passèrent durant lesquelles l’officière vérifia que rien n’avait échappé à son sens de l’observation. Elle s’assura que les cuves de soins flottantes étaient parées à les suivre pour guérir les blessés urgents.
- Posez les transporteurs ! ordonna-t-elle.
Les engins volants qui contenaient ses troupes sortirent de leur mode furtif, s’élancèrent vers le campement kepsis.
Lorsque les sphères sentinelles les découvrirent il était trop tard, déjà les appareils se posaient et les soldats surgissaient des soutes.
- Tir de barrage ! ordonna Eva.
Une salve de tirs de mortiers balaya une ligne droite du campement kepsis, soulevant un écran de poussière.
Les soldats humains tirèrent en courant vers les ennemis les plus proches et ceux-ci ripostèrent immédiatement.
- Pluie d’acide ! ordonna le sergent Colnov.
Cinq sphères de métal furent catapulté par les transporteurs à l’arrêt et explosèrent au dessus du camp kepsis, une grande quantité de liquide en jaillit, grésillant au contact de l’air. L’acide s’abattit sur les kepsis, brûlant gravement le visage de ceux qui furent suffisamment arrosés pour que le système anti-arme chimique cède. Des hurlements retentirent, à peine couverts par le sifflement des balles et les détonations. La guerre révéla alors son vrai visage.
Les premiers auteurs de science fiction avaient imaginé des tirs laser faciles à éviter, des combats propres où l’ennemi s’effondrait avec une brûlure sur l’armure.
Une simple idéalisation, la réalité était moins nette et plus horrible.
Des détonations, des milliers de balles de métal ou de lumière sifflant dans l’air enflammé. Des pluie d’acide corrosif, des trombes de feu qui détruise la chair et ne laissent q’une carcasse fumante. Des projections d’éclats qui défigurent tout le monde à dix mètres à la ronde, des explosions qui font trembler le sol. Une cacophonie de fin du monde, le hurlement des mitrailleuses, le rugissement des canons.
Le sang, les membres déchiquetés projetés à des dizaines de mètres.
L’odeur acre de la mort fraîche, la poussière, l’adrénaline.
Les amis qui tombent à vos côtés, les ennemis qui s’écroulent devant et qu’il faut piétiner pour avancer.
L’apogée de l’horreur, l’engeance infernale de la technologie et de la folie des être intelligent de l’univers.
La guerre.


Le combat devint vite confus pour les soldats des deux camps mais le sergent Colnov était équipée pour ce genre de situation. L’un de ses yeux était muni d’un dispositif qui lui donnait une vision radar de la zone de combat. Elle percevait tout les mouvements à cent mètre à la ronde et contrôlait le dispositif par commande psychique. Cette technologie était commune mais elle était un des premiers officiers humains à utiliser sa version portative. Tous les combattants iorg en étaient munis et le peuple humain ne pouvait plus se permettre un tel retard, c’était pour cela qu’un simple sergent avait reçu un dispositif aussi efficace. Bien entendu, les rare combattants iorgs que l’on pouvait avoir la malchance de croiser étaient suréquipés, munis de protections, de capacités de perceptions artificielles et d’armes aussi extraordinaire qu’atroce pour l’ennemi. Le pire cauchemar de tout soldat humains ou olloyov était de croiser un iorg au combat. Voir la tête de ses camarades exploser de l’intérieur, se faire massacrer dans d’atroces souffrances, ce peuple était passé maître dans l’horreur guerrière. La seule chose qui pouvait être pire que combattre un véritable combattant iorg était de combattre une machine de guerre iorg. Les pires horreurs mécaniques depuis les œuvres de la période sombre de la grande artificière.
Eva et ses soldats percèrent les rangs des kepsis avec beaucoup de facilité mais la mêlée était une phase des combats où l’élite militaire humaine perdait son avantage. IL n’y avait que les iorgs suréquipés et les olloyov, véritables montagnes de muscles, qui tiraient profits de tels moments. Les humains et les kepsis se retrouvaient à leur état le plus animal dans ces combats confus où les tirs étaient remplacés par les vil coup de poignard, étranglement et autres. Eva, étant consciente de ce problème, s’était entraînée jour et nuit et le résultat était sidérant.
Elle virevoltait, frappait du poignard de guerre et tirait de l’autre mains, rangeait un instant ses armes pour briser une nuque, casser un bras, fracasser une tête contre un rocher.
Un concentré de dextérité, d’efficacité et de violence. Pas beaucoup d’harmonie, juste une froideur meurtrière terrifiante.
Froide et meurtrière, comme un ange de la mort.
L’affrontement se clarifia, la poussière retomba, les kepsis étaient presque vaincus et se réfugiaient dans des creux naturels pour vendre chèrement leur carapace.
Le sergent Colnov n’eu aucune pitié, elle ordonna un massacre total et implacable.
Suivant ses propres ordres, elle se fraya un passage sanglant parmi les survivants ennemi, tuant impitoyablement les kepsis blessés ou à terre. D’une rafale elle abattit un groupe de résistant, du talon métallique de sa chaussure militaire elle transperça la gorge d’un mourant qui la suppliait. Ceux qui eurent la stupidité de se rendre périrent, pour la plupart dans la souffrance, Eva préférant les jeter à terre en fauchant leurs jambes pour les achever une fois au sol.
Elle les détestait, ces salopards de kepsis. Ils méritaient tous de mourir dans d’atroces douleurs, elle ne s’arrêterait pas avant de les avoir tous massacrés.
Le monde devait être purifié de leur existence néfaste, jamais elle ne leurs pardonnerai d’avoir posé le pied en France, le pays que leur technologie avait dévasté.
Rapidement, il n’y eu plus d’ennemi à combattre et Eva chercha des yeux des survivants à achever.
Quel dommage qu’elle n’ai pas le grade nécessaire pour torturer.
Irwadtir s’approcha doucement d’elle, la mâchoire et les griffes dégoulinant de sang jaune.
- Essuie toi la bouche, persifla Eva, tu me dégoutte.
- J’ai bien le droit d’aimer le goût de nos ennemis, répondit l’olloyove sur un ton joyeux.
Sa supérieure eu un semblant de sourire.
- Tu dois être la seule de ton peuple à aimer ces choses impures.
- Pas vraiment, c’est juste que les autres ne l’avouent pas pour paraître plus civilisés.
Cette fois-ci Eva sourit pour de bon. En réalité voir sa garde du corps déchiqueter des membres kepsis et les avaler la faisait frémir de plaisir, si ces insectes ne la dégoûtaient pas autant elle ferait de même.
- Bon, vérifions qu’il n’y a plus d’ennemis en vie, ensuite il faudra analyser cette sphère de métal au dessus de nous et…
Elle ne finis pas sa phrase, l’orbe géant s’ouvrait en deux, lentement, comme dans un cauchemar. L’entraînement du sergent Colnov lui permis de ne pas hésiter trop longtemps.
- Replis !
Trop tard, la sphère s’était complètement ouverte, son contenu tombait au sol, provoquant un sentiment d’horreur chez tous ceux qui savaient de quoi il s’agissait.
Le sang d’Eva se glaça, son esprit ne réussit plus à réagir, paralysé par une peur sans nom.
C’était une catastrophe.
La chose était roulée en boule, tel un cloporte, mais il était évident que c’était ce qu’elle craignait que ce soit.
Son esprit se délia, elle hurla.
- Repliez vous vers l’ascenseur, au tunnel !
La chose se déplia, révélant sa vraie nature.
Un corps métallique articulé, des dizaines de pattes acérées chacune garnies d’excroissances tranchantes, de lames capables de déchirer le fer et la roche, de réservoirs des acides les plus virulents. Des bulles de cristal renfermant une grande quantité de petites horreurs mécaniques, une multitude de capteurs à photons sur toute la structure, yeux infernal qui vous fixent avant que votre chair ne soit déchirée par une patte coupante ou ravagée par une arme chimique.
Près de vingt-cinq mètres de longueur une fois dépliée, des membres de plusieurs mètres, placés d’une manière semblant anarchique sur le ventre et les flancs, une sorte de tête abominable, aux grand conduits projetant des liquides corrosifs et deux bras principaux munis de pinces fines et tranchantes, puissantes et acérées.
La mort en marche, le cauchemar incarné, la terreur des champs de batailles.
Une abomination infernale plus horrible que les pires créations de Durgm, un condensé d’armes métalliques et chimiques.
La définition même de l’horreur de la guerre des années 2380, la terrible engeance des génies dégénérés d’un peuple se fichant des conséquences de sa science.
Une machine iorg.


Les soldats humains se ruèrent vers le puit, suivit de près par les cuves de soins flottantes, la machine marqua un temps d’immobilité, puis, soudain, le déchaînement.
Passant de l’état de statue de métal à celui de fléau implacable, l’horreur mécanique bondit parmi les fuyards.
Des pattes coupantes comme des rasoirs déchirèrent la chair, des centaines de petits éclats de métal blanc jaillirent de la masse grise et firent le vide autour d’elle.
Ceux qui les avaient reçus dans les bras ou les jambes s’estimèrent chanceux.
Ils n’avaient jamais combattus de machine iorg.
Les éclats sécrétèrent un flot de nano machines destructrices, les soldats touchés tombèrent lentement en lambeaux noir, leur chair se corrompant à vu d’œil. Des hurlements s’élevèrent, aussi emprunts de douleur que de désespoir alors que la corruption mécanique remontait en réduisant l’être humain en bouillie noirâtre.
La machine infernale ne s’arrêta pas pour se satisfaire de son massacre, même si son processeur central très complexe le lui permettait. Sa tête projeta un flot d’acide dévastateur qui ravagea la peau, le visage, la chair.
Les muscles, les os, la moelle.
le cœur, la dignité, la vie.
Cette fois-ci les hurlements furent vite étouffés par la dissolution de la gorge.
Les soldats atteignirent le puit, l’ascenseur commença sa descente dans les profondeurs. Il ne pouvait contenir que vingt-cinq personnes mais plus de soixante-dix humains si entassèrent, les uns sur les autres, étouffants certains jusqu’à causer leur mort. La machine ne s’était pas occupée des cuves de soins flottantes et elles venaient écraser tout le monde, leur processeur simple les poussant à suivre quoi qu’il arrive.
L’abomination iorg, ne pouvant plus les atteindre physiquement, cracha un flot d’acide mais un couvercle de métal se referma de l’intérieur et fut la première chose à être dissoute.
Quelques litres tombèrent tout de même.
Des hurlements déchirants.
Une vingtaine de morts.


L’horreur mécanique plaça ses pinces de manière à étirer le tunnel, sa tête monstrueuse projeta une salve de feu continue, la roche entra lentement en fusion, le métal rougeoya, vira au blanc, passa à la limite de la fonte.
Quelque heure tout au plus.
Puis la continuité du cauchemar
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Marie7412
Clafoutis de modération
Clafoutis de modération
Marie7412


Féminin Nombre de messages : 424
Date d'inscription : 20/11/2008

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MessageSujet: Re: Ma vision de la guerre du futur.   Ma vision de la guerre du futur. EmptyVen 19 Déc - 0:29

Sidérée! C'est très bien fait, très bien écrit! L'introduction aux iorgs, avant d'en avoir un est parfaitement menée. La machine de guerre, quant à elle, est incroyablement bien décrite, et provoque le frisson. Rien à critiquer, que des compliments! Jusque là, c'est le meilleur texte que je lis de toi, et il vaut sincérement la peine!
Bravo!




PS: Ah, faut quand même que je pinaille un peu (sinon, je ne serais pas moi, mdr). Peut-être une rapide redescription des kepsis, histoire de nous remettre dans le bain? (surtout si c'est le début d'un nouveau roman^^). Sinon, parfait.
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Nox
Ptit clafoutis
Nox


Masculin Nombre de messages : 153
Age : 32
Date d'inscription : 01/12/2008

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MessageSujet: Re: Ma vision de la guerre du futur.   Ma vision de la guerre du futur. EmptyVen 19 Déc - 1:09

Pour la redescription des kepsis, pas besoin, c'est le chapitre 19 de la lumière noire, pas le premier, donc on est habitué à en voir des kepsis, il y à forcement des nouveau personnage dans la lumière noire et ils sont décris donc... ^_^.

Merci de l'avoir lu et commenté, et je suis heureux que cet extrait te plaise. Il est important pour moi parce qu'il exprime à quel point je suis en désacors avec George Lucas sur la guerre dans le futur. J'explique ici pourquoi à l'adresse des autres membres qui liraient ce topic et c'est parfaitement dans le sujet *cf titre du topic*. En effet George Lucas, écrivain et metteur en scène de Star Wars (si je ne me trompe pas) à imaginé des laser qui tuent proprement en laissant une petite fumé, des soldats en armure blanche qui pousse un vague cri en exprirant, des sabres laser qui découpent proprement l'ennemi. J'admet que cet auteur est génial, j'adore vraiment son oeuvre et les sabres laser sont très bien mais il manque de réalisme dans sa manière d'inventer la guerre (normal c'est un des premiers à le faire et il est vraiment génial, avoir inventé toutes ces machines, ces armes, ces formes de vaisseaux, de robos, je suis baba d'admiration, je dis juste qu'il manque de réalisme) Moi je préfère une vision plus sombre, basé sur les horreurs des tranchés de 14-18 et ajusté à une ambiance technologique. Lorsque j'aurait beaucoup d'experience dans l'écriture j'écrirai un livre sur cette guerre et je peux vous dire que les machines iorg c'est du menu frettint (les crimes de guerre olloyovs, les génocides perpétué, oui encore des nouveaux XD, par les humains, les cauchemars ambulant que sont les combatant iorg suréquipés, très très très très differents de Claïsronngorg lol, les infâme armes chimiques, mentales, soniques, telluriques, psychologiques, etc... cela ne vous fait-il pas rêver ^_^) Pour les guerre de vaisseaux spatiaux, je suis pas fann d'abord parce qu'un vaisseau c'est très très très cher à construire et à équipé donc on essaye pas de détruire ceux de l'ennemi (sauf dans certains cas, comme dans l'attaque d'Europe dans l'experience de la cruauté) on préfère les envahir, les infiltrer, y faire des trous pour s'en emparer une fois tout le monde mort, et ensuite l'espace c'est grand alors allez y faire des guerre, moi je dit, juste des attaque d'un vaisseau sur un autre ou des poursuites, des missiles, des sabotages, des incidents mystérieux etc... Pas des grandes flottes qui s'afrontent.
Enfin tout cela c'est mon point de vue, et cela prête à contestation.

Pour les machines iorgs, j'ai l'intention d'en faire des pires dans d'autres livres XD, les nano machines corrosives, l'acide, les bras tranchants, c'est pas assez, Pierre Bottero fait aussi bien voire mieux avec les Kharx et la Pratum Vorax. Je ne cherche pas à le surpasser mais comme ses créations les plus sombres me font me sentir petit (Ahmour, Kharx, Mentaï, etc... *_*) je cherche à faire plus grand, plus méchants, plus terrifiant, plus vil, etc...
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