Bien dans le mal, et mal dans le bien ?

La pièce peut rouler

(Mdr comme la banlieue, excellente référence !!!)
Mais de toute manière, on peut toujours être en équilibre, on le gagne, on le perd, on le reprend... (Comme un combat, tant qu'on ne meurt pas, on peut toujours revenir et gagner - référence aussi : Kenichi <3)

T'as déjà vu une pièce rouler sur le côté ?^^ Parce que s'il elle roule comme d'ordinaire, ça va rester morose...

ps: Moi aussi je l'aime bien cette référence *-*

Bah la pièce elle se tourne et se retourne poussée par le vent *siffle* ^^

[HS : tu connais aussi l'anime Kenichi ? En voilà un gars bien ^^]

J'en ai entendu parler... Ca m'attirer pas trop, un peu trop classique à mon goût...

Bon je reprends ce sujet en me permettant un double post qui passera plus ou moins inaperçu.
A vrai dire, j'aimerais surtout reparler des idées de départ, développées dans ce sujet.
Commençons donc par l'équilibre à l'échelle de la société. Il a été évoqué à partir d'une citation, le fait qu'il était difficile de se débarrasser de liens, que cette même société a tissée en nous.. Mais peut-on ériger une maison sans fondation ? Un bâtiment sans soutien ?
Ne polémiquons pas la dessus, la réponse est tout simplement: Non ! Histoire de gravité pour cette comparaison, mais d'une toute autre chose concernant l'homme...
Ca me fait penser qu'il y a quelque jours, alors que je zappais et découvrais des programmes télévisés tous plus niais les uns que les autres, je suis tombé sur le cabaret de Patrick Sebastien... Au début, j'ai songé à passer mon chemin, puis finalement je me suis intéressé au numéro qu'effectuait un homme sur scène... Un numéro à base de cuillères. L'homme les empilait les unes sur les autres avec dexterité, chacun de ses gestes étant miticuleusement calculé pour ne pas ébranler son orginale construction. Assemblage de cuillères démesurées, taillées dans un bois léger, la drôle de construction, telle à un (mince, comme que ça s'appelle les objets qu'on suspend au plafond et qui tournent doucement, en guise de décoration ? Ha oui j'ai trouvé !) gigantesque mobile, reposait en équilibre sur l'un des bras du constructeur... Il termina son numéro en enlevant l'une des cuillères qui entraîna avec elle le reste de l'assemblage... Les conclusions que j'en ai tiré ? Comme ces cuillères, nous avons besoin des un et des autres pour nous sentir bien, pour être heureux... Parce que nous avons tous été comme ça, parce que la solitute, même si nous pouvons la rechercher, n'est pas une échappatoire et encore moins un remède. Ces liens que la société à tisser, ils nous portent, qu'on en ait conscience ou pas. Ils nous définnissent en effet, ou au moins en partie. Je pense que vouloir trancher ses liens et nous en passer n'est pas une bonne idée. Apprendre à vivre avec et s'efforcer de les ignorer est sûrement une meilleure chose.
Donc après tout, qu'est-ce que la liberté ? Pas forcément le pouvoir d'aller où bon nous semble, lorsqu'il nous en prend l'envie. C'est peut être juste une liberté d'expression, de pensée, de mouvement, d'être, et sûrement tous cela à la fois.

J'en reviens maintenant au premier message de Dark. Si notre objectif est de viser le progrès, de rechercher le mouvement et de ne surtout pas sombrer dans l'inactivité et le relâchement, alors en effet, nous n'y arriverons pas si nous atteignons ce que nous penerions être la perfection... Comme le dit si bien Pierre Bottero dans je ne sais plus quel livre: "C'est lorsque l'on croit savoir que l'on apprend plus" ...
Et c'est aussi valable pour les autres domaines. Lorsqu'on se contente de quelquechose, on stagne...
Pour en revenir à la Liberté, je pense en effet qu'elle n'existe pas sans son contraire, une forme d'emprisonnement. Je pourrais encore citer ici une phrase, cette fois d'un manga", mais il faudrait que je vous en livre une interprétation et je crains d'embrouiller la situation plus qu'il n'en est nécessaire...
Enfin voila qui est dit.

Désolé pour les fautes d'innatention ou de frappe qui doivent pullulées dans mon message, j'ai un peu (beaucoup) la flemme de me relire^^ (Oui je sais, je me contente de peu, je risque de stagner :s).

Coucou Désolée en ce moment j'ai des tonnes de choses à faire et pas trop la motivation de passer ^^

Brève intervention :
Tu dis que la solitude n'est pas une échappatoire, mais ça dépend pour qui et dans quelle situation. On ne guérit pas de tout grâce aux autres, en étant entourés. Évidemment il ne faut pas oublier les autres et se transformer en ermite, c'est une extrémité, et tout ce qui est aussi extrémiste est forcément mauvais.
Je ne comprends pas, tu parles de vivre avec des liens et de les ignorer. Qu'entends-tu par là ?[/i]

Ce que j'entends ? Euh, je vais prendre le temps de me relire et de me souvenir de ma réflexion, ensuite je te répondrai^^

Pour la sollitude, ce que je voulais dire, c'est qu'elle n'a pas les même vertus que le contact humain... Alors un peu, pourquoi pas, mais selon moi, elle devient vite pesante.
Tiens, ça me fait penser à Ionesco tout ça:

"
Beranger
La solitude me pèse. La société aussi
"
Si je me souviens bien :p

Comme je le disait sur le post sur le Chaos, la "mal" et la "bien" ne peuvent exister l'un sans l'autre. De même que la mort n'existe pas sans la vie, l'harmonie sans le chaos...

Le "mal" provoque l'ingniation puis la réflection et potentiellement l'amelioratio donc le "bien". On pourrait aboutir à un résonnement comme:
Le mal provoque le bien. Donc le mal est bien!!!

Mais aussi à
Le mal provoque le bien et le bien provoque le bien donc il y a de plus en plus dee bien.!!!

Sauf qu'il doit y avoir une erreur parce que j'ai pas l’impression que le mionde aille de mieux en mieux...

ça me fait penser a la chanson de Goldman,entre gris clair et gris foncé

Code:

Décolorés, les messages du ciel
Les évidences, déteintes au soleil

Fané, le rouge sang des enfers
L'Eden, un peu moins pur, un peu moins clair
Souillé, taché, le blanc des étandards
Brûlé le vert entêtant de l'espoir
La sérénité des gens qui croient
Ce repos d'âme qui donnait la foi

Organisés, les chemins bien fléchés
Largués, les idoles et grands timoniers
Les slogans qu'on hurle à pleins poumons
Sans l'ombre, l'ombre d'une hésitation
Télévisées, les plus belles histoires
Ternis, les gentils, troublants, les méchants
Les diables ne sont plus vraiment noirs
Ni les blancs absolument innocents

Oubliées, oubliées
Délavées, nos sages années, programmées
Entre gris clair et gris foncé

Scénarisées, les histoires d'amour
Tous les "jamais", les "juré", les "toujours"
Longue et semée d'embûches est la route
Du sacré sondage et du taux d'écoute
Psychiatrisées, l'amitié des romans
Celle des serments, des frères de sang
Les belles haines qui brûlaient le c?ur
Contrôlées à travers un pacemaker

Oubliées, oubliées
Délavées, nos sages années, programmées
Entre gris clair et gris foncé

Tout n'est pas noir ou blanc, mais gris clair ou gris foncé!
D'ailleurs Pierre Bottero le montre bien avec Elea! elle est méchante mais a cause de Altan, il y a une pointe de blanc dans sa noirceur. Pareil pour Altan!
tout est construit comme ça! Je pense que les grand méchant, méchant juste pour le plaisir de faire du mal, ça n'existe pas!

Une amie ma dit un jour:

Citation :

Rien n'est blanc, rien n'est noir, tout est gris. Si on balançais une bombe surquelqu'un, ça lui ferait mal, mais ça ferait sans doute du bien à d'autre...