Leurs Légendes

Je me lançe moi aussi dans une "Suite d'Ewilan".
Une suite qui pour être exacte parlera beaucoup du passé.
Si vous trouver des fautes d'orthographe dans ce texte
pardonner moi.
Si vous avez aimez ou même detesté faîtes le moi savoir.
J'attends vos commentaires !
L'histoire se passe huit ans après la fin des tentacules du mal.

Leurs Légendes.

Chapitre 1 : Escalade

Huit ans...
Cela faisait huit ans qu'ils naviguaient sur les Plaines Souffle,
Huit ans, qu'ils se considéraient comme des Fils du Vents.
Huit années de bonheur, simple et parfaite.


-Je te cherchais.
La voix n'était qu'un murmure à peine plus qu'un souffle.
Edwin se retourna, ficha ses yeux gris dans ceux de sa compagne, caressa la douce courbe de son ventre et déposa un baiser sur son front.


Alors Matt ! Tu traîne ?
Le garçon pousa un grognement, releva la tête et la chercha des yeux.
Il était pourtant souple et agile, mais lorsque les jeunes Haïnouks faissaient une course dans les cordages elle le distançait sans problème.
Il la repera enfin et retins un soupir de desception, assise sur la plate forme du grand mat Enora lui souriait d'un air gentiment moqueur.
Elle avait encore gagnée.

Chapitre 2 : Des histoires pour rêver

La jeune Haïnouk était assise sur la plateforme du mat, les pieds dans le vide.
Elle chantait mélant sa voix au vent comme si elle en faissait partis.
Quand le vent souffle sur la plaine
Et gonfle nos voiles
Et gonfle nos coeurs
Je vogue droit vers le bout du monde
Libre
Elle chantait faux.

-Tu sais quoi ma vieille ?
Un éclat de rire lui tint lieu de réponse.
-Salim, j'ai 23 ans, je ne suis pas vielle.
-C'est vrai mais la vérité c'est que tu sera toujours ma vieille, tu le sais, tu la toujours su,
et ça ne changera jamais.
Ewilan lui sourit tendrement et doucement elle posa ses lévres sur les siennes.

Perdue dans ses pensées, Enora ne remarqua pas imédiatement sa mére, qui après avoir escaladée les cordage
s'était assise à côté d'elle.
-Pourquoi le soleil se couche t-il ?
-Il y a deux réponses à cela mon coeur, comme toujours, laquelle veut-tu en premier ?
-Celle du savant !
Ellana sourit et passa une main dans la cascade de cheveux noirs de sa fille.
Elle cherchais les mots apropriés pour expliquer la mécanique compliquée de l'univers à une enfant de 7 ans.
Cependant l'enfant en questions la ficsait de ses grands yeux gris et attendait la réponse avec impatience.
-La terre fait un tour complet sur elle même en une journée quand elle tourne le dos au soleil c'est la nuit.
Enora n'avait pas tout compris mais elle ne le laissa pas paraître.
-Est la réponse du poète ?
Ellana sourit la réponse du poète était souvent plus belle est moins complexce que celle du savant.
-Le soleil et la lune sont deux opposés mais aussi deux compléments.
Le soleil régne en maître le jour mais lorsque le soir tombe il se couche car sa dame la lune est la reine de la nuit.
La filette hocha la tête et sa mére lui sourit tendrement.
Ensemble elles entreprirent la descente, Ellana prodigant des conseils à sa fille en matière d'escalade.

Le repas se déroula autour d'un grand feu de camps consut par Ewilan pour leur apporter lumière et chaleur sans pour
autant faire brûler le navire.
Enora ne comprenais rien à ce pouvoir mais elle le trouvait facinant, elle aimerait le posséder elle aussi mais si Ewilan était très douée,
son père était juste capable d'allumer un feu. Les autres quand à eux n'avait pas le Don.
Le repas terminer Salim sortis des balles multicolores de ses poches et se mis à jongler sous les regards brillants des Haïnouks,
très frillant de se genre de spectacles.
Il termina sous les applaudissement et Oyoel se leva annonçant qu'il était temps pour les plus jeunes d'aller dormir.
Un murmure contrarié se fit entendre.
-Pas sans une histoire! Cria un jeune garçon.
L'instant d'après tout les enfants du clan scandait.
-Une histoire! Une histoire! Une histoire!
Edwin jusqu'alors rester silencieux, dit en souriant.
-C'est d'accord les enfants.
Des cris de joie se firent entendre car au fils des années les histoires raconté par Edwin était devenue très populaires.
Ce dernier commença alors son histoire, les autres l'écoutait avec attention et Ellana qui avait possée sa tête sur ses genoux
ferma les yeux en souriant se laissant bercée par le son de sa voix.
Enora adorait les histoires raconter par son père.
Elles se déroulaient dans un pays imaginaire du nom de Gwendalavir, et mettaient en scéne un groupe héros qui affrontait de
nombreux danger.
Lorsqu'elle les écoutait une flamme s'allumait dans ses yeux elle voyait très clairement dans sa tête, les bateaux sur le fleuve,
la magnifique capital, les montagne recouverte de glace, le dragon, le guerrier combattre les quatres lézard géant, la jeune magicienne
éveiller les figés, le gentil loup combattre les méchant, la belle jeune femme chanter pour paralliser un tigre...
Elle admirait l'imagination de son père et les autres, les yeux brillant n'était pas en reste.
Quand Edwin achevat son récit une perle salé naquit au coins de l'oeil d'Ewilan et elle ferma les yeux pour qu'elle reste unique.

Chapitre 3 : Leçon d'escrime.

Amaïs esquivat souplement, déviat la lame de son adversaire et d'un rever élégant le désarma.Le poignet douloureux et une cuissante blessure dans son amour propre le jeune homme releva la tête vers celle qui l'avait vaincu si facilement.
Elle n'avait pas plus de 16 ans et ses grand yeux vert mis en valeur par le roux de ses cheveux le ficsait avec une ironie non disimulée.
-Ta garde n'est toujours pas bonne Améthis !
La voix avait claquée, et une jeune femme blonde vînt jusqu'à eux, suivit de près par un homme aux grands yeux violet.
-Tu baisse ta garde trop rapidement et tu n'est pas assez concentrer. Dit-elle sur un ton de reproche.
Mais le voyant baisser les yeux elle posa une main sur son épaule.
-Tu as assez travailler pour aujourd'hui va te reposer tu l'as bien mérité.
Améthis hocha la tête et tourna les talons
Siam le regarda partir en pensant qu'il faudrait encore beaucoup d'entraînement à son jeune éléve.
Elle avait depuis longtemps décidée de ne plus faire passer son sabre avant Mathieu, mais s'occupais de la formation de deux jeunes
escrimeurs Améthis et Amaïs, cette dernière c'était remit en garde et attendait les directive de son professeur.
-Tu vas faire un dernier combat, contre moi !
Amaïs parut un peu perturber à l'idée d'affronter son maître et Siam dut percevoir son trouble car elle ajouta.
-Ne t'inquiète pas je ne vais pas te découper en morceaux.
La réflection fit sourire la jeune éleve et elle se mit en position, le sabre en garde basse comme ont le lui avait aprit.
Mathieu recula pour ne pas les gêné dans leur combat.
L'escrime faissait partis de Siam et il l'aimait comme elle était, il acceptais donc qu'elle face quelques combats,
car sans ça elle n'était pas heureuse, pas entière.
Siam s'approcha du mur ou était accrocher de nombreux sabres, des lames mouchetées pour les débutant,
des lames courtes pour les plus jeunes,...
Elle s'arrêta devant le plus beaux de tous.
Un équilibre parfait,
Un poids idéale,
Un fil qu'elle savait aiguisé pour l'éternité.
Un dessin d'Ewilan.
Le sabre de son frère.
Un larme roula sur sa joue quant-elle pensa à lui.
Il était partis il y a maintenat 8 ans, et plus personne n'avait manié son arme.
Siam le décrocha, l'admira un instant, le cala entre ses épaules et revînt face à Amaïs.
Le sabre d'Edwin chuinta en sortant du fourreaux.

Chapitre 4 : chuchoteur

La pleine lune nimbait la citadelle d'une pâle lueur argenté.
Un souffle de vent glacé souleva les méches blondes de Siam.
Ont à toujours le choix Ewilan, il suffit de faire le bon.
Les derniers mots prononcés par Maniel était dédiés à Ewilan, mais ils était tous consernés.
Son frère avait choisit de démissioner de ses fonctions pour partir avec les Fils du Vent.
Elle comprenait sa décision mais aujourd'hui elle était remise en question.
Elle espérait seulement qu'il fasse le bon choix.
Elle plongea une main dans la poche de sa veste et en tira un chuchoteur, il la regarda un instant
avec des yeux brillants d'intelligence et il disparu, enportant avec lui un message qui inpliquerait une
lourde décision.

Lui pardonneras-tu un jour ?
Pour toute réponse une larme perla au coin de l'oeil d'Ewilan, elle essaya de la retenir mais elle roula sur sa joue.
Elle ferma les yeux et senti le contact d'une main qui essuyait doucement ses larmes.
Les lévres du jeune homme se posèrent sur les siennes et elle se blotti contre lui.
-Escuse-moi, murmura t-il, je n'aurais pas du rouvrir une vieille plaie.
Elle ouvrit la bouche pour lui dire qu'au fond d'elle même elle avait pardonnée à son père depuis longtemps,
que s'était de l'histoire ancienne et qu'il fallait aller de l'avant, mais elle n'en eu pas le courage.
Salim sortis un stylet d'une poche de sa veste et traça dans le bois du navire.
Souffrance oubliées
Confiance retrouvée
Puissance du Pardon
Sept mots qui se gravèrent en lettre de feu dans la mémoire d'Ewilan.

Edwin était en pleine conversation avec un Haïnouks lorsque qu'un chuchoteur se matérialisa
sur son épaule et délivra son message.
Edwin, si tu entends c'est mots c'est que le chuchoteur à réussit,...
Pardonne-moi de ne pas t'en dire d'avantage, mais c'est trop dur,...
Je sais que tu n'as pas l'intention de revenir,....
mais je t'en pris réffléchis,...
J'aimerais telement que tu sois là...
J'ai besoin de toi Edwin, nous avons besoin de toi...

En attendant la suite voici un petit Bonus sur les prenoms.

Enora et la forme bretonne du prénom Irlandais Honora.
La forme ancienne de ce dernier serais inspirée du terme
latin "honorus" qui peut être interprété au sens de "noble"

Ont associe souvent un caractére avec un prénom.
Enora aurait un caractére fort.
Energique elle serais enclin à des crises d'autorité lui
permettant de préserver son indépendance.

Couleur: Orange
Pierre précieuse: Topaze

L'enfant que porte Ellana sera un garçon du nom d'Evan.

Le prénom Evan à plusieurs significations:

En ancien Irlandais il signifie "jeune guerrier".
Dans la tradition bretonne il est rattaché au prénom "Yves"
Ont dit aussi que c'est une forme galloise de "Jean"
Il revendique aussi un lien avec Essus, le Dieu de la guerre.

Evan serait quelqu'un de très influent, il aurait le sens de responsabilités,
un certain équilibre et une grande exigence envert lui même.

Ce début d'histoire est dédier à Dunadan Aram, qui écrit une fanfiction
vraiment exceptionelle !

Arwena.

Et bien je me sent réellement honoré qu'une telle fiction me soit honorée! La tienne est magnifique! De plus tu nous prouves que tu a fait pas mal de recherche rien que dans les prénoms. De plus tu as réussit à prendre, comme Bottero, des prénoms de notre monde et tu les as adaptés au monde de Gwendalavir. Félicitation. Je n'attends qu'une chose... la suite!^^

Bonjour tout le monde !
Pardonner mon retard, mais j'ai suivis un stage de théâtre pendant les vacances,
ais du boucler un dossier d'Histoire pour aujourd'hui et disons qu'après mettre
prise de passion pour Harry Potter et les reliques de la mort,
replonger dans Ewilan a été assez difficile.

Mais me revoilà avec la suite de ma fic!
Si vous avez aimez ou même détestez faîtes le moi savoir.
J'attends avec impatience vos commentaires !
Ce Chapitre est dédié à Nienna qui suit ma fic avec beaucoup d'interêt
et qui se reconnaîtra.

Chapitre 5

Il avait prit cette décision le jour même de sa naissance, ne cherchant qu'à là
protéger de leurs passés respectif.
Il avait toujours respecté la vie mais il en avait si souvent fauché de la lame de
son sabre qu'il avait voulut la préserver de toute cette violence.
Le peuple Haïnouk, pacifique, respectueux des valeurs humaines et morales,
lui avait donné l'image d'une société dont les bases était la confiance et l'entraide.
Il lui avait raconté leur histoire, mais en la déformant pour que jamais elle ne
puisse douter qu'il en soient les personnages principaux.
Il lui avait donc en partie disimulé la vérité.
Gwendalavir, le peuple Frontalier, les Ts'liches, leur quête pour libéré les Figés, n'était
pour elle qu'un conte pour enfants, tout droit sortit de l'imagination de son père.
Un monde fantastique dont la seule utilité était de la faire rêver.
Elle n'avait jamais envisagé que ces légendes soient aussi les leurs.

Mais aujourd'hui le message de Siam, faisait resurgir en lui les fantômes du passé.
Elle n'aurait jamais envoyé un message pareil pour une raison futile, le mieux était
d'aller voir sur place ce qu'il en était.
Ellana ne le laisserais jamais partir seul et Salim les acompagnerait surement, quant à
Ewilan, il était grand temps qu'elle renoue avec ses parents et c'était une bonne
ocassion. Enora, sera aussi de la partie, il était grand en qu'elle apprenne la vérité.
C'était le seul moyen.
Elle apprendrait petit à petit la vérité, pour l'instant quitter les Fils du Vent, se rendre à la
Citadelle et rencontrer le peuple Frontalier était suvisament bouleversant.
Mais elle avait déjà sept ans, l'âge de raison et il là savait capable de comprendre.
Il se souvenait d'elle quant elle n'était encore qu'un bébé.
Dans chaque gazouillement, dans chaques gestes hésitants, elle était si outrageusement
adorable qu'il avait l'impression d'avoir le coeur en guimauve.
Lui Edwin T'il Illan, prince des Marches du Nord, considéré comme le guerrier absolu,
véritable légende pour le peuple Alavirien, fondait de tendresse pour une fillette au cheveux
d'ébéme et aux yeux gris acier.

Un Chapitre plutôt court et platonique mais qui à sa petite importance.
Un grand merci à ceux qui prennent le temps de lire ma fic.
Sinon je pense commencer à écrire ma première fic sur Harry Potter, fic
centrée sur Remus Lupin et Nymphadora Tonks,un loup-garou et une méthamorphomage
il faut avoué que ça défraye la chronique.
Encore pardon pour les fautes d'orthographes.

Superbe chapitre...

Salut tout le monde !

Comme vous le voyez je décroche de ma fanfiction Harry Potter pour taper un nouveaux chapitre de ma fic Ewilan.
Chapitre dédié à tout les Rêveurs de Gwendalavir.
Si vous avez aimez ou même détestez faîtes le moi savoir.
J'attends vos commentaires.

Chapitre 6

Citadelle des Frontaliers, quelques jours plutôt.

La Rêveuse se replongeat dans son rêve.
Elle en émergeat très vite, une expression très étrange se lisait sur son visage à mit chemin entre la terreur et stupéfaction.
-Par le sang de Merwyn, murmura t-elle en se laissant tomber sur la chaise la plus proche.
Le Seigneur Frontalier se redressa sur son lit et prit la parole d'un voie calme et basse.
-Maître Nil' Gwenn, bien que vous n'appartenier pas à une confrérie je sais que vous êtes une rêveuse hautement qualifiée et j'ai confiance en vous.
Elle soutient le regard gris métal du patriarche et se permit un faible sourire.
-Tout ce que je demande c'est savoir ce qui m'attends, je ne suis pas du genre à fuir mon destin et je n'ais pas peur de la mort.
Il hésitat un instant puis ajouta.
-Votre mère était une Frontalière et vous avez grandit ici vous pouvez comprendre cet état d'esprit. Affronter son destin avec courage
est je crois le propre des Frontaliers.
Devant l'air d'incertitude de la jeune femme il ajouta.
-Votre mère aurait été franche avec moi.
L'allusion à sa mère eut un effet remarquable sur elle.
Elle se leva, toute trace d'abattement avait disparut de son visage et lorsqu'elle parla sa voie était plus glacée que les vents de la chaîne du Poll.
-Vous n'avez jamais considéré ma mère comme une véritable Frontalière, les rares fois où je vous ais vu en sa compagnie vous ne sembliez
éprouvé pour elle qu'une forme de dégoût. A croire que vous aviez honte qu'elle soit de votre peuple.
Un sourire roué se peignit sur son visage lorsqu'elle poursuivit.
-Et moi dans tout cela....
J'ai appris l'arts délicat des rêveurs et aujourd'hui je suis fière de mes compétence.
Elle s'attendait à subir la colère d'Hander Til' Illan, mais il ajouta simplement.
-mais...
-J'aurais voulu combattre, comme ma mère, j'aurais voulu être à ses côtés mon sabre à la main lorsqu'elle est morte.
Sa voie se brissa.
-Si j'avais été là elle serait peut-être encore en vie.
Le seigneur se leva et doucement il posa sa main sur l'épaule de la jeune femme.
Geste calme et plein de pitié.
De pitié...
Ce mot resonnait étrangement aux oreilles de la rêveuse.
Elle se dégageat d'un geste brusque et le regarda avec des yeux brillants de larmes.
-Cela m'a été refussé, j'ai été condanné à regarder votre fille, la princesse Siam devenir une escrimeuse hors-pairs
sous l'enseignement des plus grands maîtres-d'armes.
Le murmure ces paroles s'éteignit et le silence s'installa.
Hander Til' Illan se retourna et comtempla un instant les montagnes eneigés, l'hiver s'installait sur les Marches du Nord.
-J'ai caché beaucoup de choses à trop de gens et pendant trop longhtemps, l'heure de la vérité approche.
Combien de temps me reste t-il à vivre ?
La question était directe et elle repondit d'un voie blanche et mécanique, seul moyen de masquer son émotion.
-Environ six mois tout au plus.
-Très bien tu peux disposer.
Le tutoiment là surprit mais elle ne le laissa pas paraître.
Elle s'inclina avec respect ayant décidé d'adopter un profil bas.
-Bien Seigneur puis-je encore quelque chose pour vous ?
-Oui, dit à Siam de venir me voir je dois lui parler.
-Bien Seigneur, passer une bonne journée.
-Bonne journée à toi aussi.
La porte se referma sur Arwena et Hander Til' Illan resta seul, à regarder par la fenêtre la neige qui s'était mise à tomber.

Merci encore à tout ceux qui prennent le temps de lire ma fic.

A Bientôt.

Arwena Nil' Gwenn

Superbe chapitre!!! Désolé de faire ma petite remarque, mais tu écorche un peu les noms de famille... l'apostrophe se trouve après les trois première lettres, non au millieu. C'est Til' Illan....
Autrement, aucune autre remarque à te faire, hormis que tu possède un très bon style d'écriture, et que ta fic est géniale!

J'ai revu la mise en page pour obtenir un texte plus agréable à lire.
Comme d'habitude j'attends les commentaires avec impatience.
Je remerci particulièrement Dunadan qui me fait le plaisir de lire ma
fanfiction et qui écrit en ce momment "L'Ombre Oriental", une suite
d'Ewilan extrêmement bien réusite.

Ce chapitre est dédié à tout les frères et soeurs.

Chapitre 7

-Tu es arrivée ma chérie.

Enora avait préféré fermer les yeux pendant qu'Ewilan réalisait son pas-sur-le-côté, elle les rouvrit au moment où la dessinatrice disparaisait à nouveaux, effectuant son dernier voyage en allant chercher Salim.

-C'est ici que je suis né.

Enora se tourna vers son père qui s'était exprimé d'une voix chargée d'émotions. Il dévorait les alentours du regard, un sourire, refflet du bonheur qu'il resentait, peint sur le visage.

-Tout est exactement comme dans mes rêves, furent les premières paroles d'Enora en découvrant la beauté sauvage des Marches du Nord.

La neige, cet univers blanc, cotonneux, froid, qui craquait sous ses pas,..
La chaîne du Poll, dressant ses pics orgeuilleux vers le ciel,....
La Citadelle, ses hautes murailles, ses tours vertigineuses, sa vigie,....
Cette véritable forteresse imprenable qu'elle avait si souvent imaginé,...

-Alors Gwendalavir est bien réelle ?
Ce n'est pas le monde magique d'un conte pour enfants ?

Lentement, Edwin approuva d'un signe de tête, redoutant la réaction de sa fille.

-Mais... C'est génial, explosa-t-elle !
Pourquoi tu ne me l'as pas dit plutôt ?

Heuresement pour Edwin, Enora ne semblait pas trop préssée de connaître la réponse, elle venait de lui lançer une boule de neige en pleine figure et se tordait de rire.

Un groupe de cavaliers ne tarda pas à venir à leur rencontre.
Des Frontaliers, songea Enora.
Voyant des chevaux pour la première fois de sa vie, elle eut un mouvement de recul. Une Frontalière sauta de cheval et s'avança vers Edwin. La curiosité l'emporta sur la peur d'Enora et elle observa très attentivement la nouvelle venue. C'était une jeune femme entièrement vêtue de cuir, une longue natte blonde battait dans son dos et un sabre était ficsé entre ses épaules. La Frontalière leva la main droite, celle d'Edwin si appliqua avec force.

-Honneur et Courage, scandèrent-ils à l'unison !

Ils se dévisagèrent un instant, l'expression de leurs visages était indescriptible. Ils se sourirent et Edwin prit la jeune femme dans ses bras, dans une étreinte qui, aux yeux d'Enora, avait quelque chose de fraternelle.

-Tu es revenus.....tu es revenus........

-Chut, murmura Edwin en la berçant, je suis là maintenant.

Elle se dégageat de ses bras protecteurs pour se tourner vers Ellana.
Les deux femmes eurent des réactions semblables à celles de deux amies de longues date se retrouvant et Enora perçut leur complicité.
Une foule de questions se bousculaient dans son cerveau, et savoir qui était cette jeune femme aux yeux si semblables aux siens figurait en début de liste.

-Et toi qui est tu ?

Perdu dans ses pensées Enora n'avait pas remarquer qu'elle s'était approchée d'elle. Enora voulut parler mais son père là prit de vitesse.

-Siam, je te présente Enora, ma fille.

-Ta....

Il y eut un silence.
Doucement, la dénommer Siam leva une main temblante et caressa la joue d'Enora, dans un geste d'une tendresse infinie.

-Je m'appele Siam Til' Illan, j'ai le même nom de famille que toi.

Une larme roula sur le velour de sa joue, refflet de celles qui brillaient dans le regard d'Enora, alors qu'elle commençait à comprendre.

-Ton papa est mon frère.

Timidement, son coeur battant la chamane, Enora serra Siam dans ses bras.

-Je suis donc ta tante.

Elle restèrent ansi durant ce qui sembla être une éternité, indifférente à la présence des autres Frontaliers, indifférente à la neige qui tombait sur elles.

Blancheur immaculée
Harmonie scintillante
Neige

Edwin Til 'Illan, lettre à mademoiselle Siam Til' Illan.

Siam,

Tu es arrivée au momment où j'en avais le plus besoin.
Je venais de comprendre qu'Elicia et moi n'étions pas fait l'un pour l'autre.
J'avais été promus au rang de Général des armées Alaviriennes.

Toi.
La petite chose débordante de vie et d'innocence.

Tu as grandis.
Après chaque bataille, après la haine, après la souffrance,...
J'allais chercher du réconfort auprès de toi,....
Auprès de l'amour que tu me portais.

Tu as grandis.
J'ai placé ton premier sabre entre tes mains.
Je t'ais fait monter sur ton premier cheval.

La guerre,
La mort,
La souffrance,
Le désespoir des soldats.

Face à mes troupes je me comportait comme un comandant sur de lui.
Comme un commandant qui ne doutait pas.
Mes doutes, je les gardais pour moi.
Je ne voulais pas les assommer.

A toi je pouvais tout confier.
Entre tes bras je pouvais me laisser aller.
Abandonner le poids de toutes mes responsabilitées.
Redevenir un homme comme les autres.
Un homme qui avait besoin d'aide.
Un frère qui avait besoin de l'amour d'une soeur.


Tu as grandis.
Ce n'est plus une fillette qui se jette dans mes bras.
C'est une femme.
Tu ne m'appele plus Niwin.

Tu as grandis.
Tu es une femme à la fois belle et dangereuse.
Je te vois aduler cette ordure de Yalissan Fiyr.
Je te vois l'aduler et ça me révulse.
Je te vois piétiner ton honneur, ternir celui de tiens.
J'ai honte.

Je repousse le sabre de Yalissan Fiyr.
Je me bats contre lui.
Il me blésse.
Je le tue.

Tu me soigne.
Mes yeux croisent les tiens.

-Merci Niwin.

Tu es ma soeur.
Le même sang coule dans nos veines.
Tu es ma soeur.
Tu le seras toujours.
Quelque soit l'endroit où tu iras.
Quelque soit les chemins que tu prendras.
Tu es ma soeur et je ne douterais plus jamais de toi.

Edwin.

A Suivre.....

Arwena

Superbe!!! Magnifique chapitre!!!!

Chapitre 8

Siam Til' Illan, lettre à Edwin Til' Illan.

Edwin,

Tu étais là à ma naissance.
Tu fais partis des premiers souvenirs que j'ai du monde.

Tes exploits ont bercés mes rêves d'enfant.
Tu étais mon modéle.
J'étais fière d'être ta soeur.

Aux yeux de tous tu étais le guerrier absolu.
Le commandant au sang-froid presque inhumain.
Pour moi tu redevenait le grand frère, gentil et protecteur.
Le grand frère qui avait besoin de sa petite soeur.

Je suis pratiquement née un sabre entre les mains.
J'ai passé des heures à m'entraîner.
J'étais indifférente au courbatures qui parcouraient mes muscles,
à la sueur qui coulait sur mon front.
Je m'entraînait.
Encore et toujours.
Je voulais être digne d'être ta soeur.

Tu t'enfermais dans tes missions.
Tu ne pensais pas assez à toi.
Tu s'accrifiais tout à l'Empire.

Je vivais pour le combat.
Je plaçais la valeur guerrière au dessus de toutes les autres qualitées.
J'étais indifférente à la mort.
Je ne respectais pas la vie.
.
Tu as recontré Ellana.
Elle t'as fait connaître l'amour.

J'ai recontré Mathieu.
Mais mon sabre passait toujours avant lui.
Ont disait même que j'allais me marier avec.

Je n'est pas su voir la vraie nature de Yalissan Fiyr.
J'étais aveugle.
C'étais un génie de l'escrime.
Je l'adulais.

Je me suis laisser entraîner.
J'étais aveugle.
Tu m'as ouvert les yeux.

Je n'étais qu'un jeux pour lui.
Je ne faisais que l'amuser.
Il ne m'aimait pas.

Je ne l'amusais plus.
J'avais choisis mon camps.

Tu as compris qu'il était temps de penser un peu à toi.
Tu as abandonné tes fonctions.
Tu as laissé ton sabre.
Tu as choisi Ellana.

Mon sabre à prit moins de place dans ma vie.
J'avais fait mon choix.
J'avais choisi Mathieu.
Il est entré dans ma vie.
Il est entré dans mon coeur.

Tu es partis avec les Fils Du Vents.
Mais tu n'est pas partis de mon coeur.

Tu es mon frère.
Tu le seras toujours.
Quelque soit l'endroit où tu iras.
Quelque soit le chemin que tu prendras.

Tu es mon frère et je suis fière d'être ta soeur.
Je ne trébucherais plus.

Siam.

Maintenant je chevauche en direction de la Citadelle.
Sur mon cheval est assit ma niéce.
Je viens de la recontrer.
Elle est la copie conforme d'Ellana, mais ses yeux sont les tiens.
Ses yeux sont comme les miens.

Je viens d'apprendre qu'Ellana attends votre deuxième enfant.
La promesse d'une vie nouvelle ne peut que me réjouir.
Je me sents légére.

Personne ne le sait pour l'instant, même pas Mathieu.
Je ne sais pas comment l'anoncer.
Mais un petit être se développe dans mon ventre.
Moi aussi je porte la vie.

(Ce Chapitre est lui aussi dédié à tout les frères et soeurs)

Toujours aussi splendide!!! la suite!

C'est vraiment bon! Mais...Je n'arrive pas à croire qu'ils sont aussi vieux! Ils ont des enfants! Ils sont vieux! Ils sont VIEUX! C'est vraiment trop frappant!

Doucement !

Je voulais faire une fanfiction qui soit assez originale et pour moi imaginer nos héros 8 ans après les Tentacules du Mal était une bonne idée.

Ellana à 34 ans, Edwin 50, ce n'est pas SI vieux !

Tu verras ma "suite" aura beaucoup à voir avec le passé !

Mais je n'en dit pas plus !

Tout de même! J'ai l'impression de les avoir connu si jeunes!
Ewilan et Salim sont déja des adultes alors qu'ils étaient ados!
Ellana et Edwin, sont-ils encore capable de se battre avec la même grâce et efficacité? Ils ont un enfant! Et ils vont en avoir un autre! Je suis TRÈS surprise qu'Ellana n'est pas protester...
C'est sur je dois avoir l'air d'une super-dingo-folle mais c'est juste que, ça fait vraiment bizarre de lire une suite de quasi-dix ans plus tard!
Je vais prendre en considérations la proposition de me calmer.

Salut tout le monde !

Désolée pour le retard, mais j'ai eu d'assez gros problémes personnels, qui sont maintenant réglés.
Si ma fic vous paraît pour l'instant très tranquille, sacher que l'action sera tout de même au rendez-vous même si ma fic est surtout bassée sur les sentiments, les caractères des personnages et les événements
qui ont forgés leurs destins, leurs vies, ou si vous préférez,
Leurs Légendes.

Ce chapitre est dédié à Illiana..pour sa gentillesse....tout simplement.

Edwin Til' Illan, lettre à Hander Til' Illan, Seigneur des Marches du Nord.

Père,
Pardonnes-moi,
Pardonnes-moi ma lâcheté,
Pardonnes-moi de t'écrire cette lettre,
Pardonnes-moi de ne pas te dire ses mots en face,

Je sents l'émotion qui doit s'emparer de ton coeur, alors que tu lis mes lignes,
Je te vois, ma lettre froissée entre ta main crispée,

Mais j'ai fait mon choix,
Et je ne le regrette pas,
Tu m'as dit un jour de ne pas m'enfermer dans mes missions,
Tu m'as dit de garder un peu de vie en moi,
Je t'ais écouté,

L'Empire a perdu un Général, un Comandant, un Maître d'armes, un guerrier,
Mais il a gagné un homme heureux,

Tu dois être en colére contre moi,
Le mot est faible,
En faîtes tu dois être furieux,
Mais tu ne m'en veux pas,
Je le sais,

Ce n'est pas la colére qui te dévore,
C'est le chagrin,
La douleur,

Je suis partis à l'autre bout du monde,
Peut-être pour toujours,
Mais je ne fait que vivre ma vie,
Suivre mon destin,
Je ne suis pas partis comme elle,
Je ne suis pas partis comme maman,

Siam est partis pour Ondiane,
J'ai tout juste eut le temps de lui dire au revoir,

Je crois qu'elle a décidé de laisser Mathieu entrer dans son coeur,
C'est une bonne chose,
La voie du sabre ne fait pas tout.

Edwin.

A travers la baie vitrée d'un somptueux bureau, on voit le soleil briller.
Le soleil brille sur les Marches du Nord, mais pas dans le coeur d'Hander Til' Illan. Dans la corbeille à papier, posée à côté de lui, repose les morceaux d'un lettre déchirée. Le Seigneur tient une rose de cristal entre ses mains, les yeux dans le vague, il murmure.

-Norah,...

Il repose la rose dans son vase, descends les escalier, et retrouve sa fille qui vient de rentrer d'Ondiane.

Citadelle des Frontaliers, huit ans plus tard.

Après un instant d'hésitation, les doights d'Edwin vînrent frapper la porte. La main de Siam se glissa dans la sienne, la serra.

-Entrer.

Edwin jeta un regard à sa fille, croisa le sourire encourageant d'Ellana, et poussa la porte. Il entrèrent dans une pièce de taille respectable, dont le sol était en marbre blanc et les murs en bois d'ébéme. Une impossante cheminée offrait sa chaleur acceuillante, et par l'immense baie vitrée, on pouvait voir les piques orgeuilleux de la chaîne du Poll. La neige avait cesser de tomber, mais le paysage n'en demeurait pas moins féerique, à tel point qu'Enora en avait oublié de s'interroger sur ce qu'elle était en train de vivre.

-Edwin...

L'homme assit derrière le bureau s'était levé, ses traits bien que marqués par la vieillesse était incroyablement semblable à ceux d'Edwin, et ses yeux d'un gris métalique tout aussi magnifique. Les deux hommes s'observèrent, sans rien dire. Le viel homme ouvrit la bouche, voulut parler, Edwin fut plus rapide.

-Non, ne parle pas, j'ai fait un choix, j'ai changé de route, mais aujourd'hui je suis revenu, il n'y a rien d'autre à dire.

Le vieillard sourit, et étreignit briévement Edwin avant de déclarer.

-Et je suis heureux que tu sois revenus.

Nombres d'enfants auraient été bouleversés par ce qu'Enora découvrait, mais la fillette possédait une capacité d'adaptation casi surhumaine. De nombreuses choses lui échappaient, mais elle n'y accordait pas une réflexion intense, préférant vivre l'instant présent, comme on vivrait un rêve plutôt agréable. Eclaircire les zones d'ombre était le dernier de ses problémes. Elle se contenta donc de sourire à sa tante, qu'elle conaissait depuis à peine une heure, mais qu'elle adorait déjà.

-C'est un honneur de vous voir ici !

L'homme s'était tourné vers Ewilan et Salim et les regardait avec un respect évidement.

-Merci Seigneur Hander Til' Illan, c'est un honneur pour nous aussi.

Enora sursauta en entendant le nom de l'homme et conpris imédiatement qu'elle avait affaire à un autre menbre de cette famille inconnue qui était pourtant la sienne. Elle resta silencieuse et porta un grand interêt à Hander Til' Illan qui s'était approcher d'elle et de sa mére.

-Melle Caldin, je présume, je me souviens de vous.

-Ellana Til' Illan, mais je t'en pris, tutoye moi et appele moi Ellana.

Hander là détailla alors avec intensité, comme s'il cherchait à lire ses pensées, le tutoyement qu'elle avait utilisé, pour s'adresser à un Seigneur était surprenant, mais il y avait bien plus chamboulant.
Lorsqu'il parla sa voix manqua de se briser sous le coup de l'émotion.

-Ansi donc tu es "la joli jeune femme qui a ravit le coeur d'Edwin Til' Illan et l'as poussé à abandonner ses fonctions", pour reprendre les dires de Sil' Afian. Sache que je t'en suis reconnaissant, tu lui a ouvert les yeux sur ce qu'il y a de plus important dans la vie et tu le rends heureux, c'est tout ce qui compte.

Il la serra dans ses bras avec force et Ellana eut une grimace de douleur.

-Hé, doucement !

Il eut un mouvment de recule, avant de reporter ses yeux sur Ellana qui caressait son ventre du bout des doights. Il remarqua alors que ce dernier formait une courbe discrête. Avec toute la délicatesse dont il était capable, il posa une de ses mains dessus. La main droite de la femme vînt se poser sur celle de l'homme, et elle déclara.

-Evan Til' Illan verra le jour dans cinq mois.

Comme sous l'effet d'un douche glacé, Hander se rendit compte, de tout le temps qui s'était écoulé depuis huit ans et de tout les changements qu'il avait engendré. Il respira un grand coup, reprenant rapidement ses esprits. Ses yeux tombérent alors sur Enora. Les yeux de la fillette se plongèrent dans leurs copies conformes et se fut comme si un lien s'était crée entre les deux humains. Le vieux Seigneur se noya dans les pupilles couleur acier de la petite fille, il vit la lumière de l'intelligence y briller, et il sut qu'elle avait compris.

-Comment t'appeles-tu ?

Dans ce genre de momment, nul besoin de longues phrases.

-Enora, grand-père, Enora Til' Illan.

§§§

A Suivre...
Arwena Nil' Gwenn.

P. S Les phrases:
Tu m'as dit de garder un peu de vie en moi,
Tu m'as de ne pas m'enfermer dans mes missions,
font référence à une fanfiction écrite par Kajaï dans laquelle se trouve un chapitre de dialogue Edwin-Hander.

Avec un peu d'avance Joyeux Noël à tous !

Superbe chapitre, très émouvant...
Joyeux noêl aussi xD

Joyeux chapitre
et
Super Naaaël!

Chapitre 10

Les sabres tourbillonent, étincellent en prenant leur envol, se croisent.
Si rapide qu'ils en deviennent invisibles, presque dotés d'une vie propre.
Dans la salle d'armes de la Citadelle, des Frontaliers s'entraînent.

Amaïs vient de désarmer Améthis pour la seconde fois. Une légére rougeur apparaît à ses joues, alors que son professeur la complimente, elle s'installe dans une place confortable.
Celle du vainqueur.

Les fracas des armes s'entrechoquant resonnent dans la salle, mais Amaïs n'y prête pas attention, son esprit est entièrement consacré à son combat.
A son combat et à son adversaire.
Il s'était approché d'elle, détentu, un sourire rassurant au lévres.
Confiante, elle avait acepté déchanger quelques passes d'armes avec lui.
Ses vêtements était de cuir, mais l'incontournable sabre incurvé faissait défaut à sa tenue. Son regard s'était proméné sur les différentes armes exposées au mur du fond, son choix s'était porté sur la plus belle de toute.
Célébre par sa créatrice et par son propriétaire. Le visage du guerrier s'était voilé d'un mélange de nostalgie, de joie, mais aussi de dégoût, alors que dans un chuintement le sabre sortait de son fourreau.

Lame blanche
Simple et parfaite
Sabre

A présent elle le combat.
Sa formation, son habillité, sont missent à contribution, solicitées au maximun.
Mais cela n'est pas suffisant.
Sa position reste strictement défensive.

Chorégraphie facinante
Danse envoûtante
Combat

Elle alterne attaque et parade. Les mouvements de son adversaire se font toujours plus fluides, toujours plus rapides, toujours plus précis, implacables.
Déconcertants.

Amaïs se laissa glisse au sol, son souffle était rauque, sa respiration haletante. Il n'avait pas esquissé un geste pour la désarmer, il avait maintenu l'allure, l'avait acélérer, attendant simplement qu'épuissée, les muscles douloureux, la sueur ruissellant sur le front, elle demande grâce.
Ses cheveux formant une cascade de feux autour de son visage, elle releva la tête pour croiser les yeux de l'homme.
Des yeux gris métal.

A Suivre...

Arwena Nil' Gwenn.

Petit suplément

Le Prénom Amaïs est une déformation du prénom Anaïs.
Anaïs vient du prénom hébraïque Hannah.
Le terme hanna dont ce prénom est inspiré, signifie "grâce".

Super! La suite!

je viens de lire ta fic, j'aime beaucoup!C'est sympa de voir tous les personnages plus agés et plus mûrs.

Super bien!!! la suite

Chapitre 11

La fabrication d'un bon pain est un art complexe. De nombreux paramètres peuvent modifier la qualité du pain, cela demande donc une grande rigueur. Néanmoins, il est possible de dresser une méthode de fabrication générale, mais chaque boulanger suit sa propre méthode en fonction de son expérience.
Gwaeron Nil' Gwenn, discours au apprentis boulanger.

Une douce odeur de chocolat fondu parvînt aux narines de l'homme, il repoussa la porte qui donnait accés au cuisines de la Citadelle et essaya de se fondre dans le décor - compte tenu de sa staure imposante, cela semblait relever de l'exploit - et de passer inaperçu parmis les marmittons et autres patissiers. L'homme était vétu d'un pantalon de toile grise et d'une chemise blanche - volontairement semblable à celle des cuisiniers - il attrapa une toque sur une étagére et s'en coiffa. Son déguissement complété, il entreprit l'exploration de cette endroit merveilleux, si proche du paradis sur terre.
Des notes épicées, salées et sucrées se promenaient dans l'air, lui donnant un parfum entêtant, il régnait une chaleur étouffante et chaques recoins de la piéce - pourtant immense- était en effervécence. Les ouvriers pétrisaient, mélangeaient, montaient des blancs en neige, faissaient sauter des crépes, découpaient des tranches de viande, les faissaient rotir ou griller, suivant une recette que eux seul connaissaient.

Bjorn stopa net auprés d'une pâte à crêpes abandonnée par un jeune apprenti, remarquant que le mélange n'était pas des plus homogéne il attrapa une cuillère en bois et entreprit de remuer doucement la mixture. Une voix légérement amusée retentit alors à ses oreilles.

-Il faudrait y mettre un peu d'huile de coude.

Sursautant, Bjorn se retourna vivement pour voir le chef patissier s'éloigner d'un pas allégre en direction du plan de travail voisin. Choisissant de suivre son conseil, il promena son regard sur les étagéres où était disposés les différents ingrédients.

-Farine...Sucre....Levure....Huile de tournesol....

-Tiens tu es nouveau toi ! Tu cherche quelque chose ?

Les mots avaient été prononçés d'un ton serviable et le visage de son interlocuteur était fendu d'un sourire aimable.

-Heu....oui.... de l'huile de coude.

A la grande surprise et surtout au grand agacement du général Wil' Wayard, le cuisiner qui lui faissait face eclata d'un rire si grand qu'il du se retenir à la table pour ne pas tomber.

-Qu'a tu as rire ? tonna Bjorn d'un ton menaçant.

-De...de l'huile de coude...c'est simplemnt de l'energie, de la vitalité,du muscle, ....articula l'homme entre deux hoquets, tu es batis comme une armoire à glace, de l'huile de coude tu en as à revendre.

Bjorn se détentit - et renonça au projet de frapper l' impertinent avec une poële en fonte- tandis que ce dernier essuyait ses yeux larmoyants. Quant-il eut reprit contenance il adressa une moue d'escuse au colosse.

-Au fait je m'appele Nil' Gwenn, Gwaeron Nil' Gwenn, je suis le chef boulanger ici.

A Suivre...

Dites moi franchement ce que vous en pensez.
J'attends - comme toujours - vos commentaires avec impatience.

Arwena.

Je commente ^^ Super^^ Bjorn cuistopt... bel avenir^^ Sa doit valloir mon "Parrain Bjorn" ^^
Non, je déconne. Super chapitre, comme d'habitude ( vive Bjooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooorn!!!!! )

Ma fanfiction se passe 8 ans après Les Tentacules Du Mal.
Grâce aux éléments présents dans les 2 trilogies, j'ai calculé
- avec le plus de précision possible - l'âge des personnages.

Dites moi ce que vous en pensez.

Ewilan = 23 ans
Salim = 23 ans
Mathieu = 28 ans
Siam = 27 ans
Bjorn = 41 ans
Edwin = 52 ans
Ellana = 34 ans
Enora = 7 ans
Altan = 49 ans
Elicia = 47 ans
Illian = 16 ans

Hem....

Comme l'a dit Ji-Suiza Nonhyme....Ils sont VIEUX !

(enfin..pas tant que ça)

Ils manque Maître Duom, mais me référent aux Tentacules Du Mal,

Citation :

-Vous me manquez, murmura-t-il. Vous me manquez tous les deux.
Il sourit. Un sourire serein. Un sourire sage.
-Nous nous retrouverons bientôt.

j'en suis venue à la conclusion - que 8 ans plus tard -
il étais...MORT.

Il sera quand même présent dans ma fic, mais je n'en dit pas plus.

Ah... je pensais qu'Altan Edwin et Sil'Afian avait le même âge...
Héhé Illian a mon âge xD

Citation:(de Edwin dans "Les Frontières de Glace")

"J'ai connu ton père, alors qu'il avait 17 ans et moi 20"

Il ont donc 3 ans d'écart.
Pour Sil' Afian par contre je ne sais pas.