Leurs Légendes

je suis en retard... très en retard ! je m'excuse et te remercie pour la qualité de tes écrits, c'est vraiment superbe! le style est fluide, beau, agréable à lire... je n'ai que des compliments à faire dessus ^^
j'adore vraiment !!!!
je vais me répéter, mais c'est superbe et à la différence de moi qui ne fais quasiment que dans le "Dark", c'est léger, et heureux (pas tout bien sûr ^^')
bon, j'aimerais faire un commentaire très long mais le temps me manque, je devrais aller me coucher (et je pense écrire peut-être un nouvel Os (essayons de faire dans le joyeux cette fois ) et la suite de la nouvelle fiction que j'ai écrite et qui, pour le moment n'est que sur le papier. mais je m'égare)
tout ça pour dire que j'aime ce que tu écris, ton style est vraiment beau (au risque de me répéter mais un compliment, même répété compte tout autant ;D) voilà. En fait, je ne sais pas vraiment quoi dire ^^' j'aurais peut-être dû me contenter d'un commentaire tout simple comme ceux de ce cher duna, qui va droit au but xD mais j'avais envie de décrire un petit peu et dévelloper (zut, j'ai du mal avec l'orthographe de ce mot u.u') ce que je pensais de tout ça!!! en tout, cas, c'est magnifique, continue comme ça !
*et je demande la suite !!!!*

Saieki, adepte =)

Ps : le seul petit "problème" qui rend la lecture un petit peu "lourde" (désolée du terme un peu dur...) c'est les fautes de français... ^^ mais au fur et à mesure du texte, il y en a de moins en moins, ^^ valaaaa

Saieki, après prévisualisation, le comm est assez long =) j'espère que tu l'apprécieras =DDD

Tout d'abord, merci de ton commentaire !

Les commentaires "longs" permettent de mieux donner son avis, de faire des remarques constructives.
L'important c'est la franchise de ton commentaire.

Pour les fautes de français, c'est une de mes faiblesses.
J'ai un Orthographe déplorable !
Mais mes fautes sont surtout des fautes d'inattention.
D'après mon prof de français je suis trop "dans l'histoire" dans "la signification des mots" si bien que je ne fais pas attention aux lettres qui les composent.
Mais je promet de faire des efforts !

L'important c'est de chercher à s'améliorer !

Je sais que pour l'instant ma fic est un "Et ils véçurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours".
Mais je compte bien surprendre mes lecteurs dans les prochains chapitres.

********************************************
Je vais essayer de vous faire la suite demain.

Sur ce je vais me coucher...il est près de minuit, on est demain dans quelques minutes.

héhé, je suis presque matinale =D
bref, je voudrais dire que pour la suite prends ton temps hein =) (pas trop bien sûr xD) et pour les fautes, au fur et à mesure on fait de moins en moins de fautes =) et surtout en lisant énormément =) (mais je ne doute pas que tu le fais =D) et le plus important est de se relire =)

Tout a fait d'accord ( droit au but einh??? )
Ok pour Edwin... oui, maintenant que tu le dit je m'en souviens ( surtout parce que je suis si de mauvaise foi que je suis aller vérifier xD)

(que de fautes duna... *fuit loin, très loin*)
une suiiiiiiite (qui est-ce qui disait de prendre son temps?)

Chapitre 12

Citadelle des Frontaliers, il y a prés de 28 ans.

Le jeune homme talonna son cheval. La Citadelle était en vue. Il était de retour chez lui. Un groupe de cavaliers vînt à sa rencontre. Les Frontaliers portaient l'armure de cuir brute de leur peuple et l'inévitable sabre était ficsé entre leurs épaules. Ils scrutaient le visage du jeune homme, impassible. L'un des cavaliers s'avança vers le nouvel arrivant. Il leva la main. L'autre y appliqua la sienne avec force.

-Honneur et Courage ! dirent-ils en coeur.

Quelques minutes plus tard, Edwin et les autres Frontaliers franchissaient les portes de la Citadelle. L'annonce de son retour fit rapidement le tour de la ville. Ses amis et de nombreux proches vînrent à sa rencontre. Ils voulaient connaître les moindres détails de son séjour à Al-Jeit. Certains n'avaient jamais vu la capital. Les plus jeunes comptaient parmis les plus curieux. Ils voulaient tout savoir.
Si la ville était aussi magnifique qu'on le prétendait, si l'Empereur était aussi charismatique que le Seigneur Til' Illan,...
Les Frontaliers posédant le Don du Dessin, voulaient -quant à eux- tout savoir sur l'Académie et les futures Sentinelles. Edwin eut une pensée pour Altan et Elicia. Surtout pour Elicia à vrai dire. Il chassa l'image de la jeune femme de son esprit. Il venait de remarquer celle qu'il cherchait des yeux depuis un petit moment. La porte venait de s'ouvrir sur elle. Ses cheveux blonds retombaient de manière harmonieuse sur ses épaules, et mettaient en valeur l'abîme noir de ses yeux. Les traits juvéniles de son visage ne laissaient aucun doute sur son âge. Elle avait tout juste 15 ans.

-Edwin !

Le cri de joie retentit dans la salle. Elle se précipita vers lui et il là serra contre son coeur en manquant de lui brisser les os.

-Siam !

Les parents de Siam étaient morts lorsqu'elle avait sept ans. La fillette s'était repliée sur elle même et avait été frappé d'un mutisme qui dura de longs mois. Edwin avait seize ans lors du drame. Il aida beaucoup Siam qui évacua sa rage et sa douleur en apprenant à se battre. La maîtrise du sabre lui donnait un rassurant sentiment de contrôle. Edwin prit la place du grand frère qu'elle n'avait pas eut. Un grand frère de coeur. Il n'y avait pas de lien de parenté entre eux. Edwin avait besoin de prendre du recul face à la formation du couple Altan-Elicia. Ses retrouvailles avec Siam lui faisaient le plus grand bien.

Les parents d'Edwin avaient toujours souhaité avoir un deuxième et même un troisième enfant. Hèlas, Norah Til' Illan avait des difficultées pour concevoir. Elle avait eut son fils à l'âge de dix-neuf ans. Sa deuxième grossesse -deux ans plus tard- avait présenté des complications et l'enfant était mort né. Quelques année plus tard elle fit sa première fausse couche, suivit d'une seconde deux ans après. Les Rêveurs furent d'avis qu'il n'était pas prudent pour elle de retenter une nouvelle expérience. Edwin, enfant unique, vu en Siam la petite soeur qu'il n'avait pas.

*************************************************************

Citadelle des Frontaliers, six ans plus tard.

Une fillette de 5 ans était assise sur les genoux d'un homme d'une trentaine d'années. Les cheveux blonds de la fillette et sa peau mate faisaient resortir le gris de ses yeux.

-Niwin, pourquoi je m'appele Siam et pas autrement ?

-Plus tard Siam, il est l'heure d'aller te coucher.

-Maiheuuh ! Niwin ! Je veux savoir ! cracha le fillettte d'un air buté.

-Plus tard !

Le ton employé ne laissait place à aucune réplique. La fillette -la mine boudeuse- sauta des genoux de son frère. Edwin regarda sa soeur quitter la pièce. Une unique larme roula sur sa joue.

Je dédie ce Chapitre à Saieki.

J'ai établis toute une chronologie. Vous l'avez surement
compris "Leurs Légendes" sera en majeure partie batit sur des
Flasch-Back.

J'attends vos commentaires, critiques et félicitaions si ça en vaut la peine.

A Suivre...

Arwena Nil' Gwenn

Commentaires et fellicitations!^^
Superbe chapitre...
Siam, pas la soeur d'Edwin? Uuuuuh? Oo

Reflechis bien et relis le chapitre si besoin.

Dans le premier paragraphe on a affaire à une Siam de 15 ans et à un Edwin enfant unique. Ce premier paragraphe se passe il y a 28 ans. Siam ayant à l'époque de "Leurs Légendes" 27 ans.

Dans le second paragraphe qui se passe 6 ans après on a affaire à une Siam de 5 ans qui demande à son VRAI frère d'où vient son prènom. Il refuse de lui répondre.

Tu as compris où je voulais en venir ?

(je savais bien qu'un chapitre comme ça était risqué.)

WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH un chapitre qui m'est dédiéééééééééééééééééééééé ='''''''''''''''''DDDDDDDDDDDDDDD *saute partout !!!!!!!*
c'est magnifiiiiiiiique (pas la dédi' hein, le chapitre =D)
et tu n'as pas fait de fautes (ou je n'en ai pas vues ^^) =DD

la fin est troop meugnonne !!!!
enfin, le chapitre est un tit peu triste mais beauuuu =D c'est supeeeer
j'aime

Plaine du Nord, il y a un peu plus de 27 ans.

L'enfer. C'était le seul mot qui pouvait décrire un tel endroit.
Hommes et Raïs s'affrontaient. Sans pitié. Tuer pour avançer.
Tuer pour résister. Tuer pour ne pas être tué. Tuer pour qu'il ne soit pas tué.

La lame traça une longue ligne sanglante sur sa poitrine. Tournoya dans les airs et revînt pour le coup de grâce.
Promesse de mort étincellante. Son corps toucha le sol, comme une poupée de chifon. Une poupée de seize ans. Sa longue chevelure blonde encadrait son visage d'ange. Un ange qui s'aprêtait à monter au ciel. Ses yeux ne reffletaient plus le bleu du ciel, mais le noir de cet aprés-midi d'orage.

-Siam !

Le cri avait retentit, parmis le fracas des armes s'entrechoquant. Parmis les hurlements. Il acheva son adversaire avant de s'agenouiller auprès de la poupée de chifon. Sa potrine se soulevait faiblement. Un simple rêve aurait pu là sauver. Là ramener vers la lumière, loin de l'obscurité. Il s'était déjà à moitié redressé, prêt à aller chercher un des Rêveurs qui oeuvraient à l'arrière.

-Non ! Reste ! Ne me laisse pas ! Ne me laisse pas !

Elle avait crié. Un cri desespèré. Un cri d'agonie. Il garda sa main prisonnière de la sienne. Elle tremblait comme une feuille. C'était l'automne, les arbres perdaient leurs feuilles.

-Promet moi que tu ne m'oubliras pas ! Promet le moi !

Elle se racrochait à cette promesse comme à une ultime ligne de vie. Il eut un sourire empreint de toute la tristesse du monde et murmura.

-Promis petite soeur.

A ces mots elle s'apaisa. Elle reprit la parole, mobilisant ses dernières forces.

-Tu es plus qu'un frère pour moi. Bien plus que ça, Edwin.

La flammme dans ses yeux s'éteignit. Comme une bougies sur laquelle on aurait soufflé. Il ferma ses paupières d'un geste tendre et se pencha pour l'embrasser sur le front. Au dernier momment il se ravisa et ses lévres vînrent se poser sur celles de la Frontalière, venant y ceuillir une perle de sang.

§§§

Au milieu d'un champs de bataille -parmis de nombreux autres cadavres- le corps d'une jeune fille gît dans son propre sang. Sa chevelure blonde et maculée de taches écarlates -tout comme ses vêtements d'ailleurs- mais elle sourit paisiblement. L'ange s'est endormis.

Trois mois plus tard.

Norah Til' Illan était allongée dans son lit. Ses traits étaient tirés, son visage livide. Mais aux yeux de son mari elle était belle. Plus belle que d'habitude si cela était possible. Avoir un second enfant à quarante-quatre ans avait été plus que risqué pour elle, mais son désir d'être à nouveaux mère avait été plus fort que tout.
Elle tenait son trésor entre ses bras. Un beau bébé en parfaite santé. La porte de la chambre s'ouvrit et Edwin entra dans la pièce. Il sourit à son père, déposa un baiser sur la joue de sa mère et posa ses yeux sur le nourisson enveloppé dans des couvetures.

-Je te présente ta toute petite soeur. C'est à toi de chosir son nom.

Le grand frère prit maladroitement sa petite soeur dans ses bras. Un sourire extasique se peint sur son visage. Il se pencha pour dire quelques paroles à l'oreille de sa mère. Cette dernière le dévisagea avant de prendre la parole avec beaucoup de douceur.

-Elle ne la remplaçera pas.

-Prends ça comme un hommage que je lui rend.

Une petite main se referma sur l'indexe d'Edwin. La petite princesse des Marches du Nord ne savait pas encore quel serait son destin. Elle ne savait pas encore se qui l'attendait. Mais un chose était certaine, Siam Til' Illan était un nom plein d'avenir et de promesses.

Attention: Lisez bien ce chapitre et relisez celui d'avant si besoin. Il y a deux Siam dans ma fic, il faut bien les différencier.
D'ailleurs je mettrais la chronologie qui m'a permis d'établir les
Flash-Back.

Commentaires ? ? ? ?

superbe... juste ça...
magnifique aussi

un instant j'ai pas compris puis, ensuite en relisant, j'ai compris...
vraiment beau...
j'avais les larmes aux yeux en lisant le passage durant lequel Siam n°1 meurt... j'aime tes écrits...
au risque de me répéter... c'est superbe !

Citadelle des Frontaliers, de nos jours.

L'homme se tenait debout, les deux mains posées à plat sur une dalle de marbre rose. Il ne là sentit pas approcher. En faîtes, il ne se rendit compte de sa présence que lorsqu'elle posa ses paumes sur les siennes.

-Tu semble bien songeur.

-Ce n'est rien. Des souvenirs.

-Douloureux ?

Edwin hocha la tête. Elle effleura la surface en pierre froide du bout de ses doights.

-Qui repose dans cette tombe ? Je t'ais déjà vu devans. Mais...je n'osais pas t'approcher.

Elle continua sa caresse sur le socle, elle s'arrêta en recontrant des inscriptions gravées dans le marbre.

Ci-gît, Siam Hil' Kalon.

Laisse moi ton sourire comme paysage
Laisse moi ton rire comme berceuse

E.T.I

De longues minutes plus tard, Siam et Edwin Til' Illan quittaient la pièce, main dans la main, laissant derrière eux la dernière demeure de Siam Hil' Kalon.

Laisse moi ton prénom
Comme un ultime hommage

S.T.I

Une rose blanche était posée sur ces mots.

c'est superbe, encore...
j'aime vraiment

Magnifique...

Chapitre 15

Citadelle des Frontaliers, de nos jours.

Le jeune homme la plaqua contre un mur et l'embrassa avidement. Elle rit contre ses lèvres et tenta de le repousser sans réelle conviction. La main gauche de son compagnon jouait avec sa cascade de cheveux blonds tandis que ça main droite carressait sa colonne vertébrale. Elle se déroba et lui offrit un sourire mutin.

-On pourrait peut-être poursuivre cette discussion ailleurs que dans un couloir ?

-Hum... C'est une proposition intéressante...

Il passa un bras autour de sa taille et l'attira à lui pour un nouveau baiser passionné.

§ § §

La nuit était tombée sur la Citadelle. Mathieu s'était endormi, lové contre Siam. La jeune Frontalière ne trouvait pas le sommeil. Elle fut brusquement prise de nausées et n'eut pas le temps de se lever. Elle vomit sur le sol.

-Siam, grogna la voix endormie de Mathieu.

Un hoquet étouffé lui répondit.

-Siam !

Il rejeta précipitament ses couvertures et apliqua sa main sur le front de la jeune femme. Les nausées la reprirent et il attendit que la crise se soit calmée en lui murmurant des paroles apaisantes.

-Mathieu...

Sa voix était faible. Si faible. Il la serra contre lui et elle s'accrocha à ses épaules. Il restèrent immobiles, Mathieu berçant une Siam secouée de tremblements. Lorsqu'elle se fut calmée, il l'allongea délicatement sur le lit et écarta les mèches que la sueur avait collées à son front.

-J'ai froid.

Réagisant au quart de tour à ses paroles, il l'enveloppa dans une robe de chambre et rabatit l'édredon sur elle.

-Je reviens, ne t'inquiètes pas.

Il s'habilla en quatrième vitesse et quitta leur appartement à grands pas.

************************************************************

A Suivre....

Un grand merci à Saieki qui a eut la gentillesse de corriger les fautes d'orthographe de ce chapitre.

Arwena.

=D
de rien =)
j'aime, comme je te l'ai déjà dit =D
*vive la bretaaaaaaagne ! Arhem, hors-sujet*
(hihi, tu l'as rajouté mon mot =') ok je sors XD)
la correction n'a pas été dure à faiiiire =)

^^ Saeki, grande correctrice de chapitres... ça me rapelle quelque chose^^

Sinon, superbe chapitre.

[oui, moi aussi ça me rappelle des souvenirs ^^
et merci du compliment duna =)]

m'enfin bon... à quand une suiiiiite?

je ne répeterais jamais assez excellente fic bien écrite (malgrés kelke fautes mais qui s'en soucie ?)sinon a quand la suiiiiiiiiiiiteeeeeeee lol
à genoux
please

(s'il te plait, Haley ! j'en ai assez de me répéter ! évite le langage SMS !!!!!!!!!)

Haley.

Si justement, je me soucie des fautes d'orthographe présentes dans ma fanfiction. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai demandé à Saieki de corriger le dernier chapitre. Un texte écrit en bon français est tout de même plus facile et plus agréable à lire qu'un texte bourré de fautes ou écrit en langage sms.

Imagine ce que cela serait si les écrits de P. Bottero n'étaient pas impécable, tant dans l'orthographe que dans la grammaire et dans le vocabulaire.
Aurais-tu vraiment envie de lire de tels ouvrages ?

Un bon forum c'est un forum soigné. Pour veiller à son bon fonctionnement il y a ce qu'on appele les administrateurs et les modérateurs. Ils font bien plus pour ce forum que toi, débutant avec 8 messages à son actif. C'est un véritable travail, même s'ils ne sont pas payés pour. Ce ne sont pas des machines, ils ont une vie à côté. Venir sur ce forum ne doit pas être une corvée mais un loisir.

Tout le monde doit y metter du sien. Lorsqu'on est nouveau on n'a le droit de faire des erreurs.
Errare humanum est dirait-on en latin.
Mais si je ne me trompe pas, ce n'est pas la première fois qu'on te demande d'éviter le langage sms.

Je crois que tu as pris pour tout les autres. J'avais envie de dire ça depuis un petit bout de temps (sur les autres forums que je fréquente aussi).
Désolé si c'est sur toi que je me suis défoulée....

Arwena a écrit:

Haley.

Si justement, je me soucie des fautes d'orthographe présentes dans ma fanfiction. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai demandé à Saieki de corriger le dernier chapitre.

(d'ailleurs haley je te demanderais de repasser si t'as quelque chose à dire sur la correction du dernier chapitre ^^)

Arwena a écrit:

Un texte écrit en bon français est tout de même plus facile et plus agréable à lire qu'un texte bourré de fautes ou écrit en langage sms.

Imagine ce que cela serait si les écrits de P. Bottero n'étaient pas impécable, tant dans l'orthographe que dans la grammaire et dans le vocabulaire.
Aurais-tu vraiment envie de lire de tels ouvrages ?

j'ai tout de même trouvé quelques fautes dans le livre =P (bien sûr, très peu xD)

Arwena a écrit:

Un bon forum c'est un forum soigné. Pour veiller à son bon fonctionnement il y a ce qu'on appelle les administrateurs et les modérateurs. Ils font bien plus pour ce forum que toi, débutant avec 8 messages à son actif. C'est un véritable travail, même s'ils ne sont pas payés pour. Ce ne sont pas des machines, ils ont une vie à côté. Venir sur ce forum ne doit pas être une corvée mais un loisir.

et nous y veillons =) merci de nous défendre

Arwena a écrit:

Tout le monde doit y metter du sien. Lorsqu'on est nouveau on n'a le droit de faire des erreurs.

ce que je ne cesse de répéter ^^

Arwena a écrit:

Errare humanum est dirait-on en latin.
Mais si je ne me trompe pas, ce n'est pas la première fois qu'on te demande d'éviter le langage sms.

non, en effet, ce n'est pas la première fois. Et même si ce n'est pas tout dans tes post qui soit en langage sms, c'est désagréable haley [il n'y a pas que toi ]

Arwena a écrit:

Je crois que tu as pris pour tout les autres. J'avais envie de dire ça depuis un petit bout de temps (sur les autres forums que je fréquente aussi).
Désolé si c'est sur toi que je me suis défoulée....

^^ de même.
J'en ai assez de me répéter...
Pour éviter les "plaintes" face à mon attitude, allez lire le sujet "A LIRE!" dans avant toutes choses, même à titre juste informatif

Sur ce, cessons de flooder. A quand la suite Arwena ?

Super histoire!
Désolé de pas poster après chaque chapitre mais je lis tes chapitres légèrement en retard!
Enfin voilà:!

On attends la suuiiiiiiite avec impatience!

Chapitre 16

Arwena Nil' Gwenn se recala confortablement sur sa chaise, un sourire indescriptible peint sur le visage. A ses côtés, se tenait un Mathieu au teint si pâle, qu'il en était presque translucide. Son regard passait de la Rêveuse à Siam, alongée sur le lit.

-Alors ? demanda-t-il d'une voix mal assurée.

Mais Arwena ne lui accorda pas un regard, ce qui ne fit qu'augmenter la frustration du jeune homme. Elle se pencha sur Siam et lui murmura quelques mots. Lorsque la Rêveuse se redressa, la Frontalière lui attrapa la main et la serra avec force.

-Merci.

Lorsqu'Arwena jeta un dernier coup d'oeil dans la pièce avant de la quitter, elle eut la fision fugitive d'un jeune homme, la tête posée sur le ventre de sa compagne. Tout deux souriait d'un air niait. L'amour rendait vraiment stupide, stupidement heureux.

§ § §

-Alors Wena quels sont les derniers potins de la Citadelle ?

-Ar.

-Comment ?

-Ar-wena, Gwaeron !

Gwaeron Nil' Gwenn, torse nu, vêtu d'un simple pantalon de toile, acheva de sortir les croissants du four avant de répondre.

-Je ne te savais pas si suceptible, petite soeur.

Elle ne répondit pas et il lui fourra un croissant entre les mains.

-Allez, mange. Ne me dit pas que tu n'aimes plus ça.

Arwena secoua la tête en signe de négation, et mordit à pleines dents.

-Alors ?

§ § §

-Ansi je vais être tante.

L'expression extasique de Mathieu lui tînt lieu de réponse, et Ewilan laissa son visage se fendre du même sourire béat. Lorsqu'elle avait retrouvé son frère, son coeur lui avait déchiré la poitrine, lui indiquant à quel point il lui avait manqué. Voir la famille s'agrandir d'avantage était le comble du bonheur. La matiné était à peine commençée et la grande nouvelle avait déjà fait le tour de la Citadelle. Mathieu prétendait ne pas avoir vendu la méche, mais Ewilan le soupsonnait d'avoir voulu annonçer son bonheur à la terre entière. Cependant, ce dernier avait fronçé les sourcils, comme s'il s'apprêtait à aborder un sujet délicat.

-J'ai prévenu nos parents. Il seront ici pour le dîner.

Le coeur d'Ewilan s'emballa dans sa poitrine, elle souhaitait revoir ses parents, et s'y préparait, mais l'annonce de leur arrivée iminente faisait monter en elle une vague d'angoisse.

-Je ne t'en ais pas parlé plus tôt car j'avais peur que tu t'y oppose.

La voix de Mathieu avait prit un accent coupable, Ewilan se retourna et serra son frère dans ses bras. A travers cette étreinte, elle essaya de lui faire comprendre tout ce qu'elle ne pouvait pas traduire en mots. Lorsqu'elle le relacha, ses yeux montraient qu'il avait comprit.

Note de l'auteur

Désolé pour le retard, mais je ne peux pas vous donner d'escuse valable sans vous raconter ma vie, depuis la parution du dernier chapitre. Que ceux qui sont interessés par une biographie compléte me contactent par Mp. Merci de votre compréhension. Je vais vous faire une confession, c'est Arwena qui a vendu la méche. Je suppose que vous l'aviez deviné. J'ai honte de ce personnage, même pas capable de garder un secret. Comme les gens qui me connaissent bien le savent, je fais courament des insomnies, (surtout lors de la pleine lune) j'écris souvent dans ces momments là. J'ai décidé de poster la suite imédiatement pour ne pas faire attendre les lecteurs qui serait plus matinales que moi. Je ne suis donc pas passée par ma correctrice préférée, j'ai nommé Saieki. Si vous trouvez des fautes d'orthographe, pardonnez-moi.

La suite ne s'aurait tarder....