Le Monde des Alkänans

Moi j'en suis pas encore au dernier post que tu as écrit alors faut que je rattrape

HOURRA!!!
VIVE LYRIS!!!
Grace à toi, on aura des suite xD

ouais c'est ce que tu veux, mais bon je verrais ^^
d'ailleurs si je fais ça c'est pour une bonne raison que je donnerais pas...
**alors pourquoi t'en parles?**
-hum, bon bref, si ça plaît je mettrais la suite, mais par pitié..
**vous avez de la chance elle ose supllier..XD**
-oui, laissez des commentaires, ou vos impressions, tout!^^

loul...
J'adore quand Alkänan supplie xD
ça a un goût de pathétique...
Dites moi, est-il normal que si je n'arrive pas à me connecter à msn j'arrive malgré tout à venir sur le forum? :s:s:s

J'adore ta fic. Tu écris bien et j'aime l'histoire.

* Fanny hurle de joie en voyant navidad. *
- SUITE SUITE SUITE SUITE SUITE ... Répéte-t-elle ensuite à tue tête.

ouais ben...hum bon ok...je met la suite....
**niahahaha XD**
-hum ce soir.....
**MWAHAHAHAA!!!!**
-t'as fini de te poiler là?! >_o''
**ahaha et toi qui disait que..hahahaha**
-je vais inventer le fusil pendeur de doubles...
**AAAAAaaaaargh.......**

* Fanny frétille de joie en lisant le petit message de la miss XD *

OxO Owwww ! J'adore, ça rend vraiment bien le passage sur "papier" de la mort de Helkan !
Par contre pk est-ce qu'il ne peut pas être soigné ? (a part pour les besoins de l'histoire bien sur mais....) Ils n'ont pas de pommade sur les champs de bataille (ça me parait assez pratique pourtant...) ?

*interrogation*

Edit : SUUUUITEEEEEUH !
Sinon tes joues vont souffrir niéhéhé

J'ai rattrapé tous les épisodes (j'aurais dû commenc à lire ton histoire plus tôt...)
C'est super ! La suite !!!!!

La suite et dépèche toi.

OUI UNE SUITE UNE SUITE UNE SUITE UNE SUTIE UNE SUTIE UNE SUITE UNE SUITE UNE SUITE

euh bon...puiske vous vous liguez...;^^

au fait, audrey, sâche que Sföttendel n'a pas réagit pour la pommade, d'ailleurs il en avait ptête pas sur lui (compte pas sur moi pour lui demander)
et puis, helkan est transpercé dans l'abdomen...du coup les organes sont touchés, et malgré la bienfaisance de la pommade, je doute que cela eût marché...

hum hum, bref, voilààà la suite^^

. Il sourit à Sföttendel, et bascula en arrière. Couché, dos au sol, il paraissait délivré. Sföttendel hurla.

-Helkan !
Sföttendel se releva brusquement. De la sueur emperlait son front, et malgré la tiédeur de la nuit, il frissonna. Encore secoué par son rêve, il ne remarqua pas le regard de Talbari. Le félin l’avait regardé gémir tout au long de son sommeil agité. Mais il n’en dit pas un mot. L’alkänan but une gorgée d’eau à la gourde, et se recoucha sur le côté, soucieux.

La proximité de Windell plongeait les deux compagnons dans un silence gênant. D’un commun accord, Sföttendel marchait au côté de Talbari.
Et elle apparut. La cité mère alknor. La puissance sombre de Këtten renvoyait toute sa malveillance alentours. L’alkänan et le delnar se trouvaient sur une colline, cachés de toute vision par un amas de rochers. Contrairement à Jilanga, Windell était entourée de grands remparts. Les tours de la ville perçaient cette gigantesque masse ordonnée. De loin, la cité paraissait paisible. Sföttendel se tourna dos au rocher, et inspira profondément.
-Ils ont élevé les remparts depuis la dernière fois, ça risque d’être problématique…
Il plissa les yeux, et posa un doigt sur son front. Il réfléchissait à toute vitesse.
-Il y a bien ce passage sous le rempart sud… Mais justement, depuis le temps, il doit probablement y avoir des patrouilleurs…
-Et bien on les élimine.
L’alkänan hocha la tête en signe de désapprobation :
-Je ne serais pas contre, mais il faut passer inaperçu, et puis, on doit faire relativement vite.
C’est plus compliqué que prévu. Je n’avais pas pensé aux changements, pourtant c’est évident. Maudissant son manque de logique, Sföttendel jeta un bref regard scrutateur à Windell. La cité, qui s’étendait sur au moins une lieue, se situait au centre d’une vallée. Un petit bois au sud de la ville pourrait faciliter leur intrusion dans la cité. Un souterrain le reliait au sein des remparts.
-Bien, on va emprunter le tunnel. Mais si on rencontre des gardes…
-Je suggère qu’on improvise, coupa Talbari.
D’accord, ils contournèrent la colline sur laquelle ils se trouvaient, et pénétrèrent sous le couvert des arbres. Jusqu’à présent, aucun alknor n’avait montré le moindre signe de vie. Courant silencieusement, les deux intrus repèrent rapidement une grande plaque métallique à même le sol. Des lianes et de la mousse la recouvraient.
-Ils ont dû oublier qu’elle existait proposa naïvement le delnar.
« Ou ils cachent bien leur jeu… », songea l’alkänan, qui ne se sentait pas confiant à l’abord de cet endroit. Il chercha une poignée en forme de spirale, placée au milieu de plaque. Il la trouva. Etrangement tiède, il la pressa, comme s’il avait envisagé une seconde qu’elle s’incruste dans le métal. Au lieu de ça, un déclic strident se fit entendre, et l’entrée s’ouvrit, la plaque coulissa et disparut. Pas une once de lumière n’échappait du tunnel. Sföttendel posa un pied sur le rebord de l’entrée, et avant que Talbari ait pu esquisser le moindre mouvement, l’alkänan se jeta à l’intérieur. De sa chute ne résulta aucun son. Vaguement inquiet, le félin s’élança à son tour.
-Je commence à penser que cet endroit n’a jamais été utilisé que par nos semblables…
Sföttendel se garda de répondre, et avança comme un aveugle. Talbari remarqua :
-Moi je vois dans le noir, mais comme ce n’est pas ton cas, tu devrais prendre une lanterne d’énergie, non ?
-Non, tu sais je marche jusqu’à ce que je me cogne à un…
Un lumière vive surgit de nulle part, illuminant tout le conduit. Droit devant eux, une lueur blanche marquait la fin du couloir étroit. Les murs de granit diffusaient une certaine fraîcheur, agréable. Sur le qui vive, Sföttendel désigna la lumière blanche, un rien amusé :
-Alors je suppose que cela indique parfaitement ce qui nous attend ; le jour, ou bien notre mort prochaine, même si je suis optimiste, je dirais que notre venue ne va pas passer inaperçue.
Ils rejoignirent donc la sortie du tunnel, ce qui leur demanda contre toute attente une vingtaine de minutes de marche. Après avoir observé les environs, et considérant que la voix était libre, ils s’élancèrent. Ils se trouvaient derrière ce qui apparaissait comme une taverne. Des voix résonnaient à l’intérieur. Prudemment, Sföttendel se risqua à regarder par un petit trou dans le mur, recouvert d’un morceau d’étoffe rouge. Peu de clients occupaient les lieux. Une atmosphère lugubre en émanait.
-On trouve le palais de Këtten, et on s’y introduit, chuchota l’alkänan.
Pour le moment, ils étaient à l’abri des regards en longeant les remparts, qui se trouvaient suffisamment espacés des bâtiments. Ainsi, aucun alknor ne pourrait découvrir leur présence, à moins d’ouvrir une porte de service. Sföttendel distinguait le brouhaha des rues, et cela le rassura en quelque sorte. Car il avait un pressentiment. Un mauvais pressentiment.



bonne lecture^^

heiiiiin????
quel pressentiment???
Me dis pas qu'ils vont tomber sur Varkin???
Hein???
AU CHECOUUUUUURSSS !!!!!!

mwahahahaha que je suis diabolique...mais tu verras que la suite va ptête te décevoir^^

allez bon...encore rien que pour toi, j'la met...^^
y aura du combat au menu les enfants^^
yahahaha XD
**àààmoooooooooooooooooooort les vampires et gagates!!!!!!!! **
-ouki...

suite:

Leur intrusion dans Windell se révélait bien trop facile à ses yeux. Et il ne croyait pas en la chance.
Ils parcoururent une bonne distance, toujours discrètement. Mais au bout du « passage » se dessina une impasse.
-Il va falloir grimper, proposa Sföttendel, mais Talbari ?
-Oui je sais, ça ne sera pas facile, remarqua le félin sans grand enthousiasme.
-Si jamais nous nous faisons repérer, on n’hésite pas une seule seconde, et on fonce vers le palais !
Le delnar acquiesça. Inspirant profondément, l’alkänan s’agrippa à une anfractuosité dans le mur en pierre sombre, comme du granit. C’était un bâtiment peu élevé, mais suffisamment pour les tourelles présentes à différents endroits près des remparts. Windell profitait d’une sécurité extraordinaire. S’y faufiler ne serait pas une mince affaire… Sföttendel connaissait assez la cité pour s’y retrouver. Lors des conflits, il avait mené toutes sortes d’intrusions dans Windell, et malgré le renforcement de la sécurité, elle n’avait pas vraiment changé. Le palais de Këtten se situait un peu plus au nord de la cité, et l’alkänan pensa que le meilleur chemin pour y accéder était les toits. Talbari prit une grande impulsion, et bondit. Il retomba sur les tuiles noires, et dangereusement glissantes en même temps que son ami.
-Nous sommes supposés marcher sur cette chose ? , lança-t-il avec sarcasme.
-Tu préfères demander ton chemin à un alknor ?
La réplique cloua le « bec » du félin.
Le bâtiment sur lequel ils progressaient les cachait, car un autre, plus élevé, les séparait de la vision des rues adjacentes. Evidemment, Sföttendel n’était pas vraiment repérable, mais Talbari, la « masse bleue », comme l’avait déclaré l’alkänan, serait plus étrange aux regards des passants. L’après-midi arrivait à sa fin, et Sföttendel suggéra :
-Nous n’avons qu’à attendre que la nuit soit complètement tombée ici, et nous pourrons nous mettre en route.
Ils foulaient les tuiles glissantes sans le moindre bruit. L’air frais de la nuit força malgré lui Sföttendel à enfiler une cape noire. Ainsi, il pouvait se rendre presque invisible dans l’ombre, aux yeux de quiconque levait la tête. La lumière de la lune, obscurcie par des nuages, leur accordait davantage de discrétion. Talbari bondissait, et atterrissait avec légèreté, tandis que Sföttendel s’élançait avec souplesse, la démarche féline et confiante. Ils évoluèrent rapidement, et lorsque la pâle lueur lunaire reprit ses droits dans les cieux, le palais était dans le champ de vision des deux guerriers. Immense, il dominait les autres édifices, rendus frêles par sa seule apparence. Un grand dôme aux parois blanchâtres. Décor sommaire, mais plutôt décourageant, car la porte principale, de hauteur proportionnelle à celle du palais, était l’objet de tours de garde. Des alknors aux épaulières d’argent munis d’arcs patrouillaient devant.
-Même le Conseil n’a pas besoin de gardes, murmura Sföttendel avec un air de dépit.
-Oui mais le Conseil n’abrite pas de fugitif derrière ses portes.
-Comment pénétrer là dedans sans se faire prendre…
Talbari, couché sur le toit, imité par son ami, lui jeta un regard chargé d’entendement :
-Qui a dit que nous devions passer inaperçus ?
-…
-Nous sommes deux, et il…
Sföttendel le coupa d’un geste :
-Tu veux faire une diversion ?
-Oui.
-Oublies ça. Nous sommes dans Windell, et je ne pense pas que Këtten garde un bon souvenir de nous… Donc ne tentes pas le…
-Maintenant tu vas m’écouter. Depuis toujours, je te suis, je me plis au moindre de tes ordres, je te conseille car nous sommes équipiers, mais cette fois, j’ai trouvé un plan, et toi pas. Tout ce que tu as à faire, c’est d’attendre qu’il n’y ait plus d’alknor près de la porte, et tu passes, compris ?
Durant toute sa tirade, Sföttendel avait fait silence, écoutant attentivement son compagnon.
-Tu penses sincèrement avoir une chance de m’offrir une belle diversion ?
-Absolument.
-Oh, arrête de la jouer mélodramatique ! Le sacrifice n’est rien s’il n’y a pas lieu d’en avoir un. Tu te rends compte que tu pourrais y passer ?
Talbari regarda gravement son ami, et articula avec amertume :
-Tu voulais que je fasse honneur à Helkan, non ? Alors voilà, tu n’as pas le choix, c’est la seule issue, et maintenant, tu restes ici, et tu patientes un moment. D’accord ?
-Tu sais que lorsque je serais à l’intérieur je n’aurais aucun moyen de te venir en aide, et toi non plus d’ailleurs… Une fois que les alknors seront tous prêts au combat, on n’aura plus le choix…
Le delnar hocha doucement la tête. Cette éventualité l’avait effleuré pendant le voyage. Puis, dans un élan de tendresse, Sföttendel enfouit son visage dans le creux de son épaule. Il serra son félin bleu avec vigueur, et lui chuchota deux mots. Uniques. Promesse de réussite.
Talbari se releva, et contourna l’alkänan. Soudain, il sauta dans le vide. Il atterrit pile devant les gardes. Eberlués, ils mirent un temps à comprendre ce qui se passait, puis l’un d’eux siffla, et tendit la corde de son arc jusqu’à sa joue. Avant que le trait mortel n’atteigne sa cible, le delnar avait bondi à nouveau. Puis un deuxième sifflement brisa le silence des rues. Et une dizaine d’alknors se ruèrent sur le félin. Celui-ci, amusé par la rapidité des gardes devant le danger, rugit de toute la puissance de ses poumons. Certains d’entre eux lâchèrent leurs armes pour se boucher les oreilles. Il n’en fallut pas plus au delnar pour filer à travers les rues, les soldats alknors à ses trousses. Aucune flèche ne parvint à le toucher. Pas une seule.
Tout à coup, Sföttendel vit la porte principale sans surveillance. Il n’hésita pas une seconde, et s’élança dans le vide à son tour. L’immense entrée métallique parut dérisoire sans alknor pour la garder. Sföttendel pénétra dans le palais. Pas un seul moment il ne relâcha son attention. Mais s’il connaissait les rues de Windell, le palais de Këtten lui était totalement étranger. Il emprunta un long corridor, sombre. Le sol, apparemment fait de marbre intriguait Sföttendel, qui tenta de comprendre pourquoi une lueur s’en diffusait. Mais son observation fut dérangée par une voix surprise et alerte :
-Qui êtes…
Avant que le soldat n’ait pu hurler à l’aide, Sföttendel avait bondi et se plaça derrière lui, en lui couvrant la bouche. Menaçant, l’alkänan resserra sa prise de l’autre main sur la gorge de l’alknor :
-Où est Varkin ?
Le soldat hocha de la tête pour dire qu’il ne répondrait pas.
-Ah oui ? Que dirais tu si je t’étranglais ?
L’alknor eut un haut le corps. Il désigna fébrilement un couloir sur leur droite.
-Quelle porte ?
Sföttendel comprit le mot « verte » dans le balbutiement de peur de l’alknor. Puis, d’un mouvement du pouce, il pressa un endroit précis de la gorge de ce dernier, et il s’effondra. Inconscient.
Il tourna dans la direction que lui avait désigné le garde. Il se retrouva face à une dizaine de portes. L’une d’entre elles, verte. Prudent, le capitaine pressa sa main sur une partie creusée de la porte. Sföttendel sortit sa dague, et se prépara. La porte coulissa, et fit place à une pièce sans lumière. À l’affût, l’alkänan y entra.
-Tu n’as pas du tout changé…
La voix froide, menaçante au delà de tout entendement, Varkin surgit face à Sföttendel, qui recula d’un pas.


ah mer**...je viens de réaliser...que le combat..c'est dans la page d'après ^^

j'espère que la suite ne vas pas me décevoir ce serai domage.
Bon, j'attend la suite avec impacience et ne tarde pas trop sinon je m'énerve.

hein??? t'as dja tout lu????

et puis quoi ça te décevra...ouiiiin je fais comme je peux
'dépression'


XD XD

* Fanny hurle d'impatience pour avoir une suite. *
- A MORT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

la suite, c'est pour ptête demain, en tout cas j'attendrais que navidad et windellana aient lu^^

pas avant...XD
**tarément diabo..**

La suite ! La suite !

La suite, la suite.

ooooooooki je vois, vous préviens, c'est la fin du capitre sur Galdära^^ direction la Terre et nos chers compatriotes..
**pauvre stan, il a ptête cru que tu l'avais oublié**
-meeuh nan il a de l'humour de le petiot!!!^^

enfin bon on le voit pas de suite hin, que dans le prochain chapitre^^, donc, ben voilà the combat...il est ptête pas soupel (super^^), mais bon...


La voix froide, menaçante au delà de tout entendement, Varkin surgit face à Sföttendel, qui recula d’un pas.

-Rassure-toi, mon père n’est pas ici, donc le plus gros de sa garde est avec lui. J’imagine que tu es venu pour me… « Capturer » ?
Le ton hautain de l’alknor provoqua Sföttendel, qui fronça les sourcils, et déclara avec animosité :
-J’aimerais pouvoir te tuer, mais on me l’a interdit, je vais juste me charger de te faire taire…
Varkin, un sabre à la main, s’avança, et son visage apparut à Sföttendel. La haine ancestrale qui les animait atteignit son comble lorsque Varkin sourit, avec une expression carnassière :
-Tu es là sur ordre de ton petit Conseil, ou pour venger l’autre incompétent ?
Sföttendel se baissa, et balança son pied dans les côtes de Varkin. Il esquiva un coup de sabre, et se leva pour bloquer la lame avec sa dague. Varkin souriait toujours. Résolu à tuer, l’alknor combattait avec vigueur. Sföttendel dut reculer, et ils se retrouvèrent dans le couloir. Aucun soldat ne se joignit à eux. Ils étaient seuls. Sföttendel colla son poing sur la joue de Varkin, et il trébucha. Le sol disparut sous le capitaine alkänan, qui s’étala de tout son long sur le marbre. Varkin en profita pour lever son sabre. D’un magnifique roulé boulé, Sföttendel se rétablit, et lança :
-Finalement, il va falloir que je t’amoche un peu !
L’alknor lui jeta un regard méprisant, et avec force, tenta de trancher, transpercer son adversaire. Engagés dans un combat féroce, les deux ennemis se portaient des coups si puissants, qu’ils résonnaient à travers les couloirs, comme le vacarme d’un champ de bataille. Varkin hurla, et la courbe de son sabre dessina une entaille, peu profonde cependant, sur la joue du capitaine. Celui-ci se pencha en arrière, et après une brève seconde, il disparut du champ de vision de son adversaire, et se tint derrière lui. Avec rapidité, il le faucha au niveau des jambes. Varkin s’effondra, mais avant que Sföttendel n’ait pu l’assommer, l’alknor s’était élancé en direction d’un autre couloir.
-Tu fuis ? Cria Sföttendel.
L’alkänan, rageur, le poursuivit, et au détour d’un hall, Varkin l’attendait. Sans répit, l’alkänan n’eut d’autre choix que d’esquiver, mais leur combat reprit. Leur rage, communicative, semblait les aveugler. Ils arrivèrent enfin dans une pièce lumineuse. Pendant, que l’alknor tentait une fois de plus de lui porter un coup à la tête, Sföttendel remarqua une imposante fontaine au centre de la pièce sans fenêtres. La lumière provenait de là. De l’énergie dansait telle une flamme dans la fontaine de marbre gris. Elle jaillissait pareille à de l’eau, et tournoyait de façon irascible.
Varkin profita de l’émerveillement de l’alkänan pour feinter, et le forcer à reculer. Son sabre gagna en vitesse. Mais le capitaine parait les coups admirablement. Soudain, il heurta le bord de la fontaine. Il bascula en arrière, et s’affala sur le sol, tandis qu’une incroyable migraine s’empara de son être. Varkin, sans aucune raison, était lui aussi tombé. Son sabre dans une main, de l’autre il massait son front. Il paraissait avoir oublié Sföttendel, lui-même l’esprit occupé par ce qui était en train de se produire.
D’un même mouvement, les deux adversaires levèrent la tête pour fixer, comme enchantés, le tournoiement de l’énergie. Sa vitesse crût, et bientôt, elle ne fut plus qu’un tourbillon.
Sföttendel sentit une main invisible caresser sa joue. Il y eut une explosion.
Le toit menaçait de s’écrouler, et la fontaine avait éclaté. De lourds morceaux de marbre fusèrent au dessus de leurs têtes… mais ne les percutèrent pas. Une sorte de bulle translucide d’énergie les protégeait. Soudain, une violente lumière blanche les enveloppa. Sföttendel crut voir une silhouette de femme. Le seul mot qui lui vint à la bouche ; divinité. Pourquoi ? Il n’aurait su se l’expliquer… Un éclat sourd troubla ses pensées.
Puis plus rien. Un silence paisible régnait. Il n’y avait plus personne dans la pièce.


voilà fin du chapitre...bref, les deux pauvres gars comprennent plus c'qui se passe^^, et au fait, ya un détail qui peut surprendre pour certains, dans le début, de l'histoire, quand Varkin raconte à Stan ce qui s'est passé, il dit que c'est lui qui a été projeté contre la source d'énergie, mais j'ai fait, depuis, quelques modifs, donc c'est pas lui dans la nouvelle version, mais Sfött^^, donc sur ce:

bonne lecture..^^

C'est super ! J'adore !
La suite !!!!!!!

C'est toujours aussi bien met vite la suite.

heu là...j'dois dire que la suite is to be continued ..
**si vous voyez ce qu'elle veut dire^^**

à vrai dire, j'hésite à la mettre, et puis, en plus, c'est vraiment pas fini le chapitre (j'me suis laissée aller ...)

bon je verrais mais ce sera pour dans un moment^^, alors euh merchi pour les coms^^