Le Monde des Alkänans

Concernant la fille... Elle est la petite copine de Sföttendel, ça créve les yeux... Ou alors ils vont sortir ensemble...
Et elle évoque à un moment quelque chose...
"-Ah, je vois… Donc on se serait connu, si… d’accord. "
Mais je ne vois pas ce qu'elle veut dire...
Trop peu d'informations...
J'pense qu'elle fait référence au transfert de Sfött et Varkin sur Terre...
Mais je n'en suis pas certaine...
Ou alors... Ah je sais pas...
C'est compliqué de faire des théories là-dessus...

oulàààààà je vais devoir mettre les choses au clair concernant un point!!!: lorsque Wehlia Talbari et Sfött discutent, c'est un peu avant le transfert de Varkin sur terre...ok? en fait je sais c'est en décalé, mais justement tu comprendras tout à un point donné du récit.... alors je t'espik pourquoi elle dit "ah alors on se serait connu si...." : si talbari et sföttendel avaient été dans la même équipe....pas séparés par leur mission...

désolée de pas avoir été claire là dessus. en tout cas, pour la petite amie...mwahahaha.. il ne s'est jamais vraiment rien passé entre eux dans le passé? maintenant.... c'est une autre histoire, et même je ne te dit rien, paske c'est pas forcément positif, ni négatif, donc tu liras! mwahahaha!!!

XD
La suite!

ok la suite alors:

Finalement, il le lui rendit, et tenta de comprendre :
-Donc Varkin, aidé de Swinära, a parcouru la moitié des royaumes du sud, chez nous, sans s’être fait remarqué ?
-Tu sais sans doute que le Conseil a choisi de tenir son évasion secrète.
-C’est juste…
Talbari s’informa auprès de Wehlia :
-Donc on suppose qu’ils sont déjà à destination ?
-Oui.
-Sföttendel ? , le capitaine leva la tête, je crois que Wehlia a raison, ce serait de la folie de pénétrer dans le palais de Këtten seuls…
La réaction de l’alkänan ne se fit pas attendre :
-On n’a pas le choix ! Qu’est-ce que tu suggères ? Qu’on rentre à Jilanga pour annoncer bien gentiment au Conseil qu’on ne se sent pas assez forts pour ce travail ?
Wehlia écoutait en silence.
-En plus, je croyais que tu voulais venger Helkan ? Ton chagrin disparaît vite face au danger !
-Sföttendel !
Wehlia s’était levée, et s’exprima férocement :
-Tu devrais avoir honte de te servir de la mort d’Helkan contre lui !
Talbari se leva en silence et sortit de la pièce. Un claquement de porte plus tard, elle s’avança vers son ancien collègue, et le regarda de haut.
-Je n’aurais jamais pensé que tu puisses devenir comme ça…
-Je…
-Tais-toi ! J’accepte malgré tout que vous preniez du repos chez moi, mais tu me dois des explications.
Sföttendel s’exécuta. Il raconta comment l’annonce du nom de Varkin avait bouleversé Talbari lors de leur entrevue avec le capitaine Tranda. Ils avaient tous deux évités le sujet, et tout avait repris son cours, comme si de rien n’était. Mais au fond de lui, Sföttendel savait que Talbari continuait d’y penser.
Wehlia l’écoutait émue.
-Promets-moi que tu t’excuseras.
-Oui.
Sur ce, elle se pencha et déposa un baiser sur la joue de Sföttendel. Enfin, elle sortit de la pièce à son tour.

Dans leur chambre, Talbari et Sföttendel s’observait sans parole. Puis l’alkänan s’excusa, et discuta longuement avec le delnar.
Un peu plus tôt, il s’était rendu dans une boutique, pour acheter ce dont ils auraient besoin pour la mission. À ce sujet, ils avaient décidé de la poursuivre selon les ordres du Conseil. Seuls.
Après quelques instants de silence, Talbari choisit de retourner la situation à son avantage :
-Alors, tu ne m’as jamais parlé de cette Wehlia ?
Sföttendel sourit.
-Allez, j’attends.
-Puisque tu y tiens tant que ça… Mais autant te prévenir, c’est court, et il n’y a absolument rien entre nous.
Un rire étouffé le coupa.
-Elle faisait partie de l’escouade qui a découvert l’usage des ballons explosifs. On a travaillé ensemble, avec nos deux équipes respectives pour cette mission, c’est pour ça que tu ne la connaissais pas.
-Ah d’accord, et j’imagine que le baiser de tout à l’heure, c’est juste une salutation de collègue à collègue ?
Sföttendel pâlit. Il balbutia :
-Ce n’était que sur la joue ! , puis reprenant son sérieux, il ajouta :
- Et comment tu le sais, tu étais rentré ?
-…
-De plus, je ne suis pas particulièrement intéressé par ce genre de relation, et elle non plus. C’en est fini des questions ?
Acquiesçant moqueusement, Talbari lui souhaita bonne nuit.
Il n’y avait personne, ou presque, dans les rues de Nao. Le calme nocturne devait sans doute y être pour quelque chose. Sföttendel resserra les sangles du fourreau attaché à la patte de Talbari. Enfin prêts, il se retourna pour saluer Wehlia.
-On se reverra sans doute, un de ses jours.
-Tu pourrais passer plus souvent, mais je comprends que d’ici à Jilanga, il y ait une grande distance. Enfin, n’hésite pas à l’occasion.
-…
-Bonne chance.
Elle enlaça Sföttendel, qui, après un instant, se détacha d’elle délicatement. Il la fixa intensément, et elle comprit.
Il bondit sur le dos du delnar, et après des brefs adieux, les deux compagnons évoluèrent jusqu’à la sortie. Ils n’entendirent pas le murmure que Wehlia prononça dans les ténèbres :
-Dommage…

Après être sortis de la cité de Nao, et lorsque l’immensité du ciel étoilé apparut aux compagnons, Talbari demanda doucement :
-Pourquoi es-tu resté distant avec elle ? Elle avait l’air de…
-Talbari ?
-Oui ?
-Je n’ai pas besoin de ça, fit l’alkänan énigmatique, ma situation me convient.
Son ton tranchant avertit le félin de ne pas aller plus loin.
Les astres baignaient la plaine d’une lumière opaline et reposante. Le voyage reprit son cours. Tranquillement.
Les foulées de Talbari se faisaient de plus en plus lourdes à mesure qu’ils approchaient de la frontière. Quelques jours après leur bref séjour à Nao, les arbres élevés de la forêt frontière des deux royaumes apparaissaient au loin. Ils semblaient narguer les deux guerriers.
Leur ombre offriraient une délivrance certaines après les journées passées dans la « plaine brûlante ».
Enfin, le delnar pénétra dans l’ombre. Comme si leur venue perturbait le silence sylvain, un cri s’éleva dans l’air.
-C’est trop gros pour être un jibako, lança Sföttendel.
-Ce n’est pas un delnar, continua Talbari.
-Hum, il faudra rester sur nos gardes, cette forêt, bien qu’étant notre frontière n’a jamais vraiment été explorée. À partir de maintenant, on progresse en silence.
Talbari se moqua gentiment :
-Tu vas finir par ressembler à Tranda !
Reprenant sa course, le félin tournait la tête au moindre bruit, ou craquement.
-Et moi je crois que c’est toi qui commences à lui ressembler, souffla narquoisement Sföttendel.
Mais lui-même scrutait les cimes, où lianes et branches s’entremêlaient. L’obscurité opaque des lieux contrastait étrangement avec la luminosité diurne de la plaine. Des buissons s’agençaient ça et là, et le sol terreux absorbait chaque foulée de Talbari, procurant un peu plus de silence à cet endroit sinistre. L’écorce brune et rêche des arbres, était recouverte de mousse sur la plupart d’entre eux. Et Talbari courait. Un sentier étroit guidait ses pas.
Les heures, les pauses se succédèrent. Ils approchaient enfin des royaumes du nord.
Soudain, un second écho de course devant eux alerta Sföttendel.

(bon je sais ya beaucoup à lire...mais bon....alors la fin de ce chapitre 3 est bientôt..alors je verrais si je met la suite après ça....en tout cas j'aimerais bien des tites hypothèses...niark!)

snif snif moi je voulais qu'il y ait une histoire entre Sfött et Wehlia !
J'aime toujours, sauf que j'aurais bien aimé avoir plus de détails sur la réconcilliation, ça va trop vite à mon goût !

Et voilà !

La seule hypothèse que je vois c'est qu'ils vont croiser la route de quelqu'un niahaha

oui, mais t'inquiète pas audrey, y aura plus de passage, c'est juste que là, si ça va vite, c'est que tu comprendras plus tard que Wehlia change vite d'humeur elle aussi(hum.......)

en tout cas, tu sais sans doute l'autre histoire qu'il va y avoir dans le roman...donc j'ai pas envie que mon histoire ressemble aux feux de l'amour non plus......XD

Haha t'inquiète pas va ! Je crois qu'il y a aucun risque avec une bande de héros pareils !

AH AH AH AH!!!
Finalement, je ne la tue pas XD
Elle n'est pas si dangereuse que ça après tout... Ben, la... j'vois pas c'que j'peux mettre comme théorie là dessus lol.
SUITE!!!

tu vois fanny, pas besoin de se faire peur
**n'empêche sur ce coup-là t'as été forte nat!!mwahahahaha**
-oui...oui...'elle hoche la tête doucement'

bon alors la suite ici:

Sans s’arrêter, le delnar interrogea l’alkänan du regard. Celui-ci, qui redoutait ce à quoi il fit allusion, se pencha en avant après avoir empoigné sa dague, et murmura :
-Un varlouk…
Comme pour confirmer ses dires, une énorme masse noire apparut loin devant eux. Sa tête ressemblait à celle des delnars, aux différences qu’en guise de narines, il possédait trois fentes, comme des branchies sur son museau, et il n’avait pas le don de parole. Plus large aussi, il était doté d’une arme naturelle, et très efficace. Sur chacune de ses épaules, quatre lames s’alignaient les une derrière les autres, qui s’hérissaient selon l’humeur du varlouk. Tranchantes à souhait. Les yeux de l’animal braquaient leur lueur jaune et féroce sur les « intrus ».
Sföttendel enjoignit son camarade à maintenir l’allure. Ils se préparèrent au choc, et guettaient la moindre faille chez le varlouk. Mais, celui-ci agissait de façon étrange, « comme s’il attendait quelque chose… ».
Sföttendel n’eut pas le loisir de cogiter plus longtemps… un deuxième varlouk les percuta sur leur droite. La puissance du coup projeta Talbari qui se ramassa sur les pattes arrière, en tentant d’amortir. Mais la force de son ennemi le fit basculer sur le flanc, et il glissa sur plusieurs mètres. Sföttendel quant à lui resta coincé, car le varlouk l’avait percuté, les lames dressées sur son épaule. Sa jambe droite transpercée, au lieu d’être éjecté du dos du delnar, quand ce dernier était tombé, il l’avait entraîné avec lui.
La terre soulevée tournoya autour d’eux dans un nuage de poussière. Les grognements des deux varlouks alarmèrent le capitaine, et il les vit marcher lentement en cercle serré autour de leurs « victimes ». Visiblement, la chasse commençait.
Dans un sursaut, Sföttendel se dégagea de la masse de Talbari, et s’emparant d’un poignard de sa main libre,-l’autre prise par la dague- il asséna une bourrade au félin, encore couché par terre.
-C’est pas le moment de roupiller Talbari !
Un sourire amusé étira la bouche du delnar, qui se releva péniblement.
-Enfin de l’action, hein ?
-Ils ont l’air de vouloir jouer, les deux gros, je me trompe ? , déclara-t-il en se plaçant dos à son compagnon.
-Non !
Et les combats commencèrent. Talbari se chargea du plus grand des varlouks. Sföttendel bondit, et avant que son adversaire ne comprît ce qui se passait, il se retrouva juché sur son dos. Se retenant de hurler de douleur quant sa jambe lui rappela gentiment qu’elle était transpercée, Sföttendel agrippa le poil du varlouk, qui, impuissant face à ce qui lui arrivait, tournait en rond, et hérissait ses lames frénétiquement. Curieux, le capitaine jeta un regard à Talbari, mais il ouvrit de grands yeux pantois.
De l’autre côté, les deux félins se battaient sauvagement. Des coups de griffes. De crocs. La rage des coups laissa l’alkänan émerveillé, si l’adjectif convenait à la situation.
Soudain son propre destrier rugit, imité peu de temps après par son « collègue ». Celui-ci abandonna Talbari, et accourut vers Sföttendel. L’alkänan planta son poignard dans la chair jusqu’à la garde. Le petit varlouk gronda. Quant le gros arriva, Sföttendel hurla :
-Talbari !
Quant il voulut planter sa dague dans le dos d’une des bêtes, la lame ripa et l’acier tinta.
Mais l’alkänan avait vu bien pire. « Si tu penses pouvoir arrêter ça, j’applaudis ! ».
Il balança un magnifique coup de pied dans une des lames naissant de l’épaule du petit varlouk.
-D’accord, tu es fort ! , concéda l’alkänan, éberlué.
Un morceau de cuir de sa botte venait de voler après s’être arraché.

bon je suis un peu triste de voir qu'il y a que 2 personnes interrésées par ma fic...enfin bon tant pis (**snuf**)

bonne lecture!!!

TROP GENIAL!!!!
J'adoreuuuuuh
SUITE!!!

w& c'est super ! j'ai tout rattraper et le germain l'a trop la classe
Talbari c'est un gros loup qui parle en faite..

Hum finalement les Varlouks ont trouvé leur place !

Par contre j'ai noté des phrases zarbs : "Celui-ci, qui redoutait ce à quoi il fit allusion, se pencha en avant après avoir empoigné sa dague, et murmura [...]"
Et aussi "Sa jambe droite transpercée, au lieu d’être éjecté du dos du delnar, quand ce dernier était tombé, il l’avait entraîné avec lui."

Et depuis quand les yeux sont pantois ???

Faut pas m'en vouloir, c'est mon boulot de t'embêter ! Sache que chez un éditeur ça ne passera pas !
A part ça, bien trouvé les Varlouks ! Ca me rappelle ces dinosaures hérissés de pointes sur la queue XD ha ha ha !

.....dridri...Talbari est un félin.....qui parle je te l'accorde..mais pas un loup

'nat se jette par terre et agonise, tandis que simon prend sa place'

**ne vous inquiétez pas c'est passager....quoi qu'il en soit, elle posterais pas la suite avant un petit moment...sauf exception..car elle est en train de lire le tome 7 d'harry potter!!! (en français ça lui aurait pris une soirée..mais là il est en anglais..comptez environ deux ou trois jours donc....)**

merci

Alkänan! Toi aussi?
Oh que je t'aime:!
J'pourrai péter mes cous de crises hystériques avec toi mddr!
Je suis aussi en train de le lire... Horrible les quatre premiers chapitres O.o

Ah mais chuut vous deux ! ><

Tiens le retour de SIMON XD ha ha ! Dépèche toi de finir HP7 !

harry potter 7 fini!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je suis à moitié déshydratée à cause des mains de larmes...et très *o* par ce que j'ai lu.......

aaaaaaaaaaaaaaaah
n'en dis pas plus loool
Sur msn, je t'interdis de me dire ce qu'il se passe après le chapitre 18, pour le moment...
^^'
En tout vas, j'suis d'acc avec Hermione sur ce coup-là...^^'

bon maintenant on a fini toutes les deux, mais on se taira^^

sinon bon faudrait que je mette la suite, par contre je vous préviens
**j'aurais peur à vos places...**

ceci est l'avant dernier post..après j'arrête de poster..(-_-' vive les récapépètes..)

donc ben euh, voilà:

Mais l’alkänan avait vu bien pire. « Si tu penses pouvoir arrêter ça, j’applaudis ! ».
Il balança un magnifique coup de pied dans une des lames naissant de l’épaule du petit varlouk.
-D’accord, tu es fort ! , concéda l’alkänan, éberlué.
Un morceau de cuir de sa botte venait de voler après s’être arraché.

Mais il remarqua qu’à l’endroit où la lame sortait de la peau, du sang coulait. Ravi, il frappa encore une fois l’acier tranchant comme un rasoir. Le varlouk rugit de douleur. Talbari avait fini par capter l’attention du second, et prenait l’avantage. Les varlouks se montraient moins prompt à la chasse tout à coup. Le petit varlouk se lança dans une course effrénée entre les arbres, tandis que Sföttendel cherchait un moyen de l’arrêter. Soudain, une branche, apparemment désireuse de saluer l’alkänan, le percuta de plein fouet. Tandis que le varlouk s’enfuyait, Sföttendel reprenait ses esprits, assis sur le sol. La violence du choc l’empêchait de réaliser que Talbari continuait de se battre, loin en arrière. « Si même les arbres s’y mettent… ».
Un rugissement le ramena à la raison.
Quand il arriva, la silhouette du varlouk, à terre, ne remuait plus. Les lames de ses épaules s’affaissèrent doucement.
-Tu l’as tué ? s’inquiéta presque le capitaine.
-Je n’ai pas eu le choix.
Respectant un bref moment de silence, les deux se regardèrent, essoufflés.
Puis finalement, une remarque fusa :
-Tu saignes…
-Et toi ta jambe va te lâcher ! Un peu plus, et j’assiste un unijambiste !
-Bon j’ai ce qu’il faut pour nous soigner dans mon….
Sföttendel chercha son sac du regard. Puis il l’aperçut suspendu à une branche.
Après l’avoir attrapé, Sföttendel boita jusqu’au delnar, couché sur le sol, le flanc gauche zébré d’une longue estafilade sanguinolente, profonde. De son sac, l’alkänan sortit un rouleau de bandage blanc, et un pot en bois gros comme le poing.
-Tu devrais te préparer, annonça-t-il au félin, en étalant une couche dune crème orangée sur la plaie, ça va brûler intensément quelques secondes.
Pendant un court instant, le silence régna. Puis le grondement de Talbari résonna. Il ferma les yeux, et son poil se dressa en une longue crête sur sa colonne vertébrale.
Ce baume avait la particularité de pénétrer les plaies, la refermant sur son passage. Mais malgré l’effet miraculeux, pendant le processus de guérison, une sensation d’extrême brûlure parcourait la blessure.
Une fois soigné, le félin regarda son ami :
-C’est résistant ?
-La peau est comme neuve, les tissus sont réparés. La sensation de brûlure vient de là, pendant la guérison, les tissus s’unissent, et tirent. C’est un sale moment, mais le résultat en vaut la chandelle.
Appliquant lui-même du baume sur l’endroit où sa jambe avait été transpercée, il serra les dents. La crème pénétra la plaie comme du feu liquide. Inspirant, l’alkänan ferma les yeux. Mais pour sa plus grande douleur, la lame était entrée diagonalement dans la jambe, et la brûlure dura une longue minute. Le front couvert de sueur, l’alkänan entoura la plaie d’une bande douce, blanche, en plus de celles qui lui recouvraient déjà les mollets.
-On arrivera à Windell en un morceau. C’est déjà ça, affirma-t-il.


bon après ça c'est le prochain chapitre, et donc je mettrais le début... voilà bonne lecture^^

O.o
Avant dernier...
* Pleure de désespoir. *

enfin bon..ptête pas dernier..mais seulement si du monde la réclame ..
**nat veut dire, du monde hormis les personnages du réceptacle divin...**
-oui en effet...

Je hais les gens qui ne lisent pas ta fic GRRRRRRRRR

ben allez rien que pour toi,
**elle veut que tu sois triste avec cette suite..**
non!!
**si**
-non
**si**

bon bref
**j'ai gagnééééééééé**

voilà la suite, mais après je verrais en fonction de mes humeurs pour la suite..
**vous avez du soucis à vous faire...**

suite:


**Chapitre IV**

Windell, cité mère des royaumes du nord.

Le paysage annonçait presque de lui-même ce dont il avait été victime. Dans le passé, il avait certainement été une belle vallée, verdoyante à souhait, où s’épanouissaient de nombreuses créatures, maintenant, l’herbe brûlée et les arbres meurtris par des incendies saluaient tristement tous les voyageurs.
-C’est dommage… déplora Talbari.
-Oui, mais la guerre n’épargne pas ce genre de choses.
L’alkänan regarda dans le lointain, une grande, et ancienne tour de garde alknor, ravagée par les intempéries, et la guerre. Elle avait constitué un poste lors des intrusions alkänans dans les royaumes du nord. Désormais abandonnée, comme toutes les rares habitations de la région, elle semblait dire aux voyageurs : voyez ce que vous m’avez fait ! Sföttendel conclut tristement :
-Elle n’épargne rien du tout.
Les royaumes du nord. Depuis la fin de la guerre, les alkänans n’y pénétraient plus. Ou clandestinement. Car Këtten, le roi, interdisait l’accès à ses royaumes. Tout comme il y imposait son pouvoir. Sans limite.
La vallée était presque silencieuse, et dans la soirée, des bourrasques de vents la balayèrent.
Sur le dos de Talbari, Sföttendel grogna :
-J’ai comme un mauvais pressentiment quant au temps qu’il va faire. Et ce n’est pas ce nuage qui va me contredire, fit-il en désignant une immense masse grisâtre dans le ciel.
La pluie les salua à la tombée de la nuit, et ils durent se mettre à l’abri d’un gros rocher. L’eau tombait, drue. Le vacarme assourdissant sur le sol herbeux résonnait comme un grondement du tonnerre. Les deux compagnons décidèrent de dormir à l’abri pour la nuit.
Le lendemain, et les jours qui succédèrent, Talbari courait, marchait, avec la même rapidité mécanique. Plus ses pas les rapprochaient de Windell, moins ils s’adressaient la parole. Ou très rarement. Ces terres regorgeaient de souvenirs, douloureux. Sur leur route, ils rencontrèrent quelques maisons, et durent être discrets pour ne pas se faire repérer.
Sföttendel sauta à terre, et déclara sans joie :
-On va devoir passer la nuit ici pour se ressourcer un peu, d’ici demain soir, on arrivera à Windell, et je veux que nous soyons en pleine forme pour ce qui nous attend.
-Tu as un plan ? Pour nous introduire dans la ville ?
-Absolument aucun, mais demain je profiterais du voyage pour y cogiter !
Après avoir avalé leurs dernières provisions, ils se couchèrent, et s’abandonnèrent aux bras du sommeil.

Il arriva sur les lieux, à la frontière même des deux royaumes. Mais là où auraient dû se trouver leurs alliés, ils ne trouva que des corps éparpillés sur des dizaines de mètres. Une odeur de sang le rendit nauséeux. Angoissé, Sföttendel chercha son camarade des yeux mais il ne le trouva pas, et soulevé par un fol espoir, hurla :
-Helkan !
Talbari choisit cet instant pour accourir. Hors d’haleine, le félin se campa au côté de son ami. Mais l’alkänan hurla de plus belle :
-Helkan !
-Sföttendel, je pars à sa recherche de ce côté, et toi de l’autre.
Acquiesçant silencieusement, le capitaine se mit en mouvement. Tout en marchant, il surveillait le sol, pour repérer d’éventuels survivants. Il en fut un. Un alkänan d’âge mûr toussa.
-Capitaine…
Sföttendel se précipita à genoux.
-Où est l’autre capitaine ? Helkan ?
Dans un dernier souffle, le soldat hoqueta :
-Plus à l’ouest…
Et il ne bougea plus. Sföttendel lui ferma les yeux, et se releva en toute hâte. Il courut dans la direction indiquée par l’alkänan. Frénétiquement, il s’empara d’une dague sur son passage, fichée dans le corps d’un alknor. Ce dernier portait les épaulières d’argent de son peuple, à l’inverse des alkänans, pour qui elles étaient dorées. Soudain, un cri déchira le silence morbide des environs. Une jeune voix, qui poussait un hurlement de douleur. Sföttendel doubla de vitesse. Il arriva trop tard…
Un guerrier alknor dominait un alkänan à genoux. Sföttendel hurla de toute la force de ses poumons :
-Helkan !
L’alkänan tourna la tête vers lui, son visage pur taché de sang. L’alknor relâcha son attention un bref moment, son regard hautain rencontra celui de Sföttendel. « Non ! »
Varkin abattit son sabre… Helkan regarda la lame meurtrière pénétrer son abdomen, désespéré.
Sföttendel se rua sur l’ennemi, et se jeta sur lui, lâchant son arme au passage. À mains nues, il frappa son adversaire, sa rage prenant le dessus. Des larmes roulaient sur ses joues. Il pleurait, mais ses coups se firent de plus en plus désordonnés. Varkin profita de cet instant pour balancer son pied dans les côtes de Sföttendel, qui relâcha prise. L’alknor planta un poignard à double tranchant dans le flanc du capitaine. Sur le dos, ce dernier regarda la silhouette de l’alknor se relever. Fébrilement, Sföttendel jeta un ultime regard sur Helkan, encore à genoux, qui agonisait lentement, observant la scène comme si sa propre vie lui apparaissait évaporée. Un rugissement vibra dans l’air, et le corps de Varkin fut happé par l’énorme masse bleue de Talbari. Varkin hésita un instant, et choisit de fuir. Il tourna le dos, et s’enfonça dans la forêt.
Sföttendel rampa jusqu’à son camarade, à genoux.
-Helkan… Regarde moi…
Sföttendel s’accroupit, une main pressée contre sa blessure. La douleur importait peu.
-Helkan…
Il posa une main sur la joue du jeune alkänan. Une longue estafilade ensanglantée la parcourait. Helkan, ses cheveux blancs ébouriffés en arrière, des boucles à ses oreilles, un visage sans sourcils aux yeux azur, répondit lentement, dans un murmure rauque :
-Ils étaient nombreux…
-Ce n’est pas ta faute, je n’aurais jamais dû t’y envoyer seul…
Puis, comme s’il riait, le jeune capitaine répliqua :
-J’aime mieux quand tu es sarcastique, mais peu importe c’est fini, trop tard, il faut le rattraper.
Talbari regardait les deux alkänans tristement. Sföttendel semblait dans un état second, où sanglots et larmes s’emmêlaient douloureusement. Le delnar en fut profondément touché. Jamais Sföttendel n’avait montré la moindre faiblesse. Helkan gémit de douleur, des filets de sang s’échappaient de sa bouche. Il sourit à Sföttendel, et bascula en arrière. Couché, dos au sol, il paraissait délivré. Sföttendel hurla.


bonne lecture^^ et dites ce que vous en pensez!!^^

J'en ai les larmes aux yeux...
O.o
Alors là, j'halucine surtout que j'arrive même pas à controler O.o
Trop forte!

bon à partir de maintenant donc, ben euh j'attendrais pour voir si y a du monde, et donc euh ben....merci ellundril^^, enfin si vous voulez
**elle vous supplie**
de laisser des commentaires si vous lisez...*_*'